[S17] Promenade au couché de soleil. (Fini)

[ Vendredi soir vers 20 heures ]

Enfin ! Il venait de terminer ce qu'il avait commencé à écrire. Il en était déjà à une cinquantaine de pages, et il avait les yeux tout rouges. Enfin, sa ne changeais pas trop de d'habitude. Il se leva et mis le cahier dans un tiroir qu'il ferma à clé, il rangea sa chaise et se dirigea vers la salle de bain ou il se mouilla le visage qu'il essuya ensuite avec une serviette. et alla se changer. Enfin, se changer était exagérer, la même couleur. Noir. Avec des endroit légèrement plus rouge. Un jean délavé noir, converse noir, chemise noir, on aurait cru voir la nuit tombé dehors, mais en faite c'était Hadrian qui fermait la porte de son cabanon.

Il se dirigea vers le lac. Le soleil du crépuscule était magnifique, il se reflétait dans l'eau, et accentuait les yeux rougeoyant d'Hadrian. Il marchait lentement le long du lac, et regardait devant lui. Il se baissa, et prit des caillou qu'il envoyait en ricochet. Il en avait marre. Marre que depuis 15 ans, il ne connaissait pas l'amour. Enfin, il la conaissait quand on l'éprouve. Mais ce qu'on ressens..

Elle avait fini de s’installer, elle était un peu déçue car elle était toute seule dans sa cabane mais cela ne changeai pas de d’habitude et puis peu être que d’autre nouveau viendraient et elle partagera sa chambre a ce moment la. Enfin bref, elle avait du temps libre elle décida donc d’aller faire un tour au lac, quand elle arriva elle vit certaines personnes entrain de se baigner elle aurait aimée elle aussi mais elle ne pouvait a cause de sa maladie, elle marcha donc le long du parc ou elle les regarda s’amuser, cela la rendait malheureuse mais bon elle ne voulait pas le montrer.

Elle continuait sa promenade lorsqu’elle aperçut une connaissance, c’était Hadrian le garçon qu’elle avait rencontrée il y a quelques heures de cela. Elle se dirigea vers lui et contrairement a ses habitudes elle ne lui fit pas une tape dans le dos, elle s’asseyait a côté de lui et soupira tout en le regardant.

-Qu’est ce que tu fais tout seul ?! Je trouve sa triste de rester la, sans parler a quelqu’un ….

*Je dis ça mais moi ….*

Elle regarda les remous de l’eau, il faisait frais et l’air lui imprégnait ses faibles poumons, elle ferma les yeux un instant et inspira un bon cou, cette odeur était différente de celle qu’elle respirait tous les jours, ca sentait la nature et sa lui plaisait beaucoup.

-Ha ca change de d’habitude, moi qui suis toujours restée enfermer chez moi, hahaha…

[Même remarque que pour le post précédant, Loulou Hadrian il faut que tu spécifies le jour et l'heure approximative de ton action Smile

]

[ Voilà

Loulou Hadrian à tout changer ^^ Ah oui ! Je précise, Lycast va s'incruster lol donc j'enlève pv avec Allena ^^ ]

[Edit Kenfer=Nikel Loulou Hadrian, merci !]

Assis devant l'eau, Hadrian regardait au loin. Il sentit alors une présence venir à côté de lui, ce qui lui fit du bien que quelqu'un vienne. Il se retourna et vit Allena qui lui demandait :

*-Qu’est ce que tu fais tout seul ?! Je trouve sa triste de rester la, sans parler a quelqu’un ….

C'était bien gentil, mais avec qui ? Il n'avait pas revu la jeune fille étrange et tout blanche de la grande salle... Ni Oni qui devait être partit de cette école... Mais maintenant Allena était là cela ne posait donc pas de problème, puisque il n'était plus seul. De toute façon, il avait l'habitude de n'avoir personne à ses côté, puisque auparavant, personne ne voulait de lui... Tout le monde le traitait de sorcier, ou de type trop bizarr non fréquentable. Mais maintenant c'était différent, il réussissait à s'intégré peu à peu après quelques semaines ici. Même si pour l'instant, les deux seules personnes à qui il avait de l'amitié ( enfin, c'était un façon de parler ) était Allena, et la jeune fille toute blanche. Il lui répondit :

- Avec qui ? Je n'ai personne à qui parler ou avec qui être...

Juste avant qu'il est répondu, elle avait dit autre chose, elle parlait de changement. Hadrian n'avait rien écouté et ne savait pas de quoi elle avait parlé.
Soudain, il vit une personne dans le l'eau légèrement plus loin. Il se rapella alors qui était ce type.

Le clodos de l'avenue principale de Forza !

L'illusioniste ! Le sale pauvre ! Le clauchard !

Hadrian voulut être à côté de lui pour le frapper. Et il y eut un nouveau flash. Comme dans le couloir. Hadrian se retrouva devant le peintre. A nouveau il crut qu'il s'était téléporter, mais il chassa vite cette idée de la tête. Et lui dit violemment :

- Qu'est ce que tu fous ici le clodos ?

Depuis lundi, Lycast n'avait jamais cessé de chercher ses proches. Que lui restait il aujourd'hui à part une immense culpabilité ?

Ce qu'il faut savoir c'est que le jeune homme avait eut peur. Peur de la confrontation avec son frère. Alors, chaque jour, il avait rejeté cette retrouvailles le lendemain. Jusqu'à ne plus avoir la possibilité de faire ce choix. Cette malédiction s'était abattu sur lui comme un couteau de boucher sur la tête d'une volaille. Sec et presque sans douleur, mais laissant derrière d'innombrables séquelles qui changea profondément les pensées du peintre.

Puis sous l'influence de ce changement brutal, il se mit en tête de retrouver son petit frère et sa jeune amie. Après cinq jours de recherche. Il avait décidé de faire une pause pour cette semaine. Avec ses vêtements déchirés de partout, Lycast était finalement revenu à l'E3. Une faim le tiraillait mais avant tout il avait besoin de se laver. De ce fait, il se dirigea vers le lac de l'établissement. Il enleva ses habits, gardant seulement son caleçon qui n'est pas un short de bain. Puis plongea dans l'eau, la tête encore plein de regret. Il se mit sur le dos, et se laissa flotter. L'eau n'était pas son élément préféré. Mais ce n'était pas non plus quelque chose qu'il haïssait, loin de là. Puis environ après une demi-heure de relaxation, il entendit une voix familière. C'était celle de l'élémentaliste de feu, qu'il avait rencontré dans la ville dont le nom lui échappe. Le surnom que ce dernier lui avait donné le laissait indifférent mais pas le ton.

Ce ton montrait une immense colère à l'égard du jeune homme. Le peintre se laissa couler avant de remonter vers la surface pour voir le visage de son interlocuteur. Ce dernier était accompagné d'une jeune fille qui possédait un certain charme. Constat fait, toute question mérite une réponse et c'est dans toute cette logique que Lycast répondit presque innocemment.

"-Je nage."

Il nagea vers la rive pour rejoindre Hadrian puis une fois rendu, il sortit de l'eau, montrant sans gêne son caleçon trempé. Puis avec un regard gentillet, il se présenta à la jeune fille.

"- Bonjour, je suis Lycast. Elève de l'E3."

Simple comme toujours qualifiait le peintre qui ne voulait, bien entendu, pas gêné. Son éternel sourire sur son visage fin était plus que jamais sous une emprise de fausseté, tellement son mal-être morale et physique était grand.

Allena n’avait pas eu le temps de répondre a Hadrian, il avait l’air tellement mystérieux elle voyait en lui de la haine, de la tristesse et elle se demandait comment il pouvait lui parler elle qui était si joyeuse, pétillante et qui souriait tout le temps. Mais elle était aussi triste comme toute les personne normal, elle se haïssait parfois d’être malade et elle voulait aussi s’amuser avec les autres mais cela était impossible alors elle pensait a autre chose, elle se trouvait égoïste et ne voulait pas s’apitoyer sur son sort.

Elle se tourna vers Hadrian quand celui si s’adressa a une personne mais il n’était plus a coté d’elle, il se trouvait près de celle ci qui se baignait dans le lac, elle repensa a tout a l’heure quand il avait fait a peu près la même chose mais parfois elle était tellement dans les nuages qu’elle ne faisait pas attention au personne qui l’entourait, elle avait peu être rêvée. En tout cas elle n’aimait pas la façon dont Hadrian parlait à l’autre personne surtout que celui-ci avait l’air charmant. Elle s’approcha de son « nouvel ami » et lui assainît une tape dans le dos :

-Allons calme toi ! Cette personne ne t’as rien fait elle se baignait tranquillement !!!

Elle le regarda et lui fit un sourire tout a fait charmant, elle voulait s’excuser pour la conduite d’Hadrian même si elle n’y était pour rien.

-Yo, moi c’est Allena !! dit-elle de son habituel ton ironique.

C'etait la deuxieme personne a qui elle parlait et elle en etait ravie, cependant elle se demandait ce qu'il y avait entre les deux jeunes hommes, peu être c'etait-ils deja rencontrés et que cela c'etait mal passé. Elle se demandait aussi si elle n'avait embétée Hadrian en s'interposant ainsi mais elle ne voulait pas que quelque chose de facheux gache la journée extraordinaire qu'elle venait de passer, elle s'appretait a dire quelque chose mais l'oxygène manquait elle decida donc de s'assoir et de respirer calmement laissant les deux jeunes s'occuper de leurs affaires.

Le clodos était maintenant à côté d'Allena. Hadrian se sentit coupable de la mettre en danger. Il s'avança donc vers le clochard et avant même d'avoir pu dire un mot, il reçut une violente tape dans le dos. Exactement la même que celle qu'il avait reçu le matin dans le couloir.
Il se retourna et vie Allena qui lui disait :

*-Allons calme toi ! Cette personne ne t’as rien fait elle se baignait tranquillement !!!

Sa se voyait elle ne le connaissait pas. Mais Hadrian se creusa la tête et remarqua que le peintre n'avait en faite rien fait. Alors Hadrian se sentit légèrement mal. C'était assez bizarre, c'était la première fois qu'il se sentait mal de faire quelque chose de.. En quelque sorte mal à quelqu'un innocent. C'était une impression bizarre qu'il ressentait à présent. Une sensentation qu'il n'avait jamais éprouvé. Comme si, c'était lui qui avait mené à la mort son clan. Il culpabilisait.
Il chassa vite cette idée de sa tête et dit à Allena :

- Tu ne le connais pas. Ce clodos se mêle de ce qui ne le regarde pas

Il regarde le peintre et lui dit :

- Casse toi si tu veux pas finir comme l'enfoiré de loup de l'autre jour!

Cette impression positive qu'on peut avoir comme les préjugés fut confirmés. La jeune fille avait une voix vive, pétillante et une joie significative se transmettait par les mots qu'elle prononçait. Elle s'appelait donc Allena. Il sourit à sa nouvelle connaissance comme pour marquer le début d'une relation toute simple. Hadrian ne le vit pas d'un tel œil et c'est avec un pincement au cœur qu'il écouta ses raisons. Se mêler de n'importe quoi ? S'il qualifiait les conflits de n'importe quoi alors Lycast était sensiblement en désaccord avec lui.

L'élémentaliste de feu décide finalement de menacer le jeune peintre en rappelant l'évènement qui fâche. Finir comme le loup ? Mais le loup n'avait rien subi, l'impulsif ne s'en était toujours pas rendu compte ? Anxieux le jeune homme observe la cuise d'Hadrian. En effet celle-ci porte toujours la trace d'une blessure. Illogisme pure ! Comment une illusion aurait-elle put crée des dommages physiques? Tout naturellement le cœur de Lycast se mit à battre plus fort, la culpabilité qui venait s'ajouter à la colère de l'élémentaliste de feu avait eut raison de lui.

Pourquoi tout allait mal autour de lui ? Il n'arrivait pas à se résoudre de laisser les choses ainsi et simplement partir.

"- Je suis désolé, je ne pensais pas que tu serais blessé. Pourtant j'étais sûr d'avoir tout maîtrisé..."

Sa phrase prononcé, son regard de nature triste, le peintre observait Hadrian. Il attendait une réponse, espérant être pardonné. Pourtant, quelque chose l'induisait que ce n'était pas la raison principal de la colère de l'impulsif. Mais l'idée que ce soit le fait qu'il les ait empêché de se battre ne lui venait pas à l'esprit.

Allena regarda Lycast et lui fit un sourire chaleureux, il avait l’air si gentil et elle ne comprenait pas pourquoi Hadrian s’énervait contre lui, elle n’aimait pas du tout cette attitude immature de la part du jeune homme. Plus elle regardait le nouveau venue plus elle pensait qu’il était sympathique mais il paraissait triste et désolé pour Hadrian, elle se plaça à côté du jeune peintre et regarda son ami les sourcils froncés.
Il y avait bien une chose qu’elle détestait c’était les gens qui abusaient des gentils et c’est ce qui se passait en ce moment. Bon d’accord elle ne savait pas ce qui c’était passé entre eux mais ce ne devait être rien de méchant, elle posa ses mains sur ses hanches et soutint le regard dans les yeux du jeune élémantaliste de feu.Elle soupira un instant, heureusement qu’elle était fatiguée sinon il se serait bien pris une claque dans le dos beaucoup plus forte que les précédentes !

-Hum, qu’est ce que c’est que ces manières, t’es parents ne t’ont donc pas éduqués ?! Moi j’aimerai bien qu’il reste, enfin si lui a envi bien sur.

Elle se tourna vers Lycast, puis continua d’observer Hadrian, elle était déçue par le jeune homme, bon d’accord il n’avait pas été très gentil avec elle non plus mais il l’avait aidé et même porté sa valise alors qu’ils ne se connaissaient même pas. Elle le regarda bien car le peintre avait parlé d’une blessure, pourtant elle n’avait rien remarquée et si elle l’avait su elle ne l’aurait pas laissée porter sa valise !!!

*Halala les garçons …. !*

Apparemment, le garçon qui était avec lui dans l'avenue principale avait l'air désolé.
Mais pourquoi l'était-il ? Puisque, ce n'était pas lui qui l'avait mordu. Il avait juste tenté une illusion, pour que personne ne souffre. Sa avait raté. Il était aussi sur d'avoir tout maitrisé.

* Faudrait qu'il revoie la façon d'utiliser son pouvoir... *

Hadrian se rappela alors quelque chose qu'il avait toujours voulu oublié.
Le flash, et aussi l'aspect bizarr d'avoir changé de place. La première fois était arrivé lorsqu'il était avec Allena dans les couloirs. Il s'était mis à faire les cents pas et se concentra à ce qu'il avait pensé à ce moment là.
Il était à environs à une dizaine de mètres d'elle, quand il avait souhaité être à côté d'elle, un flash avait voilé ses yeux, comme lorsque l'on éteins la lumière mais en restant blanc et non noir. Et ensuite, il s'était retrouvé à côté d'Allena.
Il avait ignoré l'idée de la téléportation, mais lorsqu'il était à côté d'elle près du lac, il avait vu le clochard et avait souhaité être à côté de lui. Et il s'était passé exactement la même chose. Il y avait eu le flash, et ensuite il s'était retrouvé à côté de lui.
C'était vraiment bizarr. Il avait découvert... Un nouveau don. Pour l'instant il ne savait pas encore le contrôlé, mais peut-être que plus tard...

Un vois le tira de ses pensé, c'était Allena :

*-Hum, qu’est ce que c’est que ces manières, t’es parents ne t’ont donc pas éduqués ?! Moi j’aimerai bien qu’il reste, enfin si lui a envi bien sur.

Ses parents ? Ces deux mots le firent éclaté de rire. Un rire narquois et sadique. Ses parents. Elle croyait donc qu'il en avait eu.
Il se rassis au près d'elle et la regarda dans les yeux. Elle avait des yeux magnifique couleur chocolat. Hadrian était un peu jaloux. Lui qui avait toujours eu les yeux rouges feux depuis que ses pensées s'étaient remplis de haine. Une haine infernale et qui ne souhaitait pas s'en aller tant que la vengeance n'était pas accomplis.
Il répondit à Allena :

- Mes parents ? Hm... Cela fait maintenant longtemps que je n'ai pas entendu quelqu'un parler de mes parents.
Pour être franc, je n'en ai plus depuis l'âge... De... Hm... Je sais plus trop, je crois que c'est à peu près 2-4 ans... En faite, je n'ai plus de famille depuis cette âge là ! Sur ce...

Il se releva. Il posa une dernière fois les yeux sur ceux d'Allena. Puis sur il regarda le peintre, et lui dit calmement :

- C'est la première fois que je vais dire ça.

Il posa sa main gauche sur l'épaule droite du jeune garçon qui restait un clochard aux yeux d'Hadrian

- C'est entièrement ma faute ce qu'il s'est passé. Et non la tienne. Donc, d'un côté je n'accepte pas t'es excuses. Et, pour ce qui est de ma cuisse, une jeune fille étrange que je peux maintenant qualifié comme une amie m'a soigné dans la grande salle.

Il lâcha l'épaule du garçon, et s'éloigna peu à peu du groupe pour continuer à marché le long du lac.

[ Je ne me désengage pas tout de suite au cas où il y est un truc qui se passe ^^ ]

Les gestes d'Allena étaient tellement spontanés et sans once d'embarras que Lycast, sans vraiment le vouloir, l'admirait. Pas une admiration exagérée comme peut l'avoir un fan pour son idole, mais plus comme un enfant pour son père ou sa mère. Lorsqu'elle se plaça à côté de lui, il sentit une montée de sang rougir ses joues mouillées. Elle laissa tout de même un soupir sortir de sa bouche avant de prononcer le fond de sa pensée. Ce soupir montrait enfin un soupçon de faiblesse de sa part. Du moins, c'est ainsi qu'il l'interpréta.

Ce qui suivit de sa phrase fut un rire qui fit froid dans le dos au jeune peintre. L'essence de ce rire lui paraissait inconfortable et comme pour le confirmer, il déclara ne pas avoir eu de parent. Comment pouvait-on en rire ? Encore plus que précédemment, le jeune homme se sentit désolé pour Hadrian. Apparemment, il n'avait pas eu de chance...

Lorsqu'il se releva après s'être assis pour avouer qu'il n'avait pas eu de parent, c'était pour observer Lycast de ses grands yeux rouges. Le peintre se sentit mal à l'aise, mais ne dit aucun mot et écouta attentivement ce que l'élémentaliste de feu avait à dire. Il sentit une légère pression sur son épaule droite avant d'entendre de nouvelle parole. Il l'entendit le déculpabiliser en avouant que ce n'était guère la faute du jeune garçon, mais la sienne. Malgré l'apparence que l'homme en caleçon donna en gardant son visage inquiet, un certain soulagement s'emparait de lui. Surtout à l'entente de la cuisse guérit d'Hadrian. Il avait donc été victime de sa propre illusion.

Finalement d'un pas plus ou moins modéré, l'ex-impulsif s'éloigna, recherchant probablement un peu de tranquillité. Tout naturellement, Lycast tourna la tête vers Allena pour laisser une brève grimace prendre son visage. Il avait un peu honte sur le coup et ne savait pas vraiment quoi dire. Si seulement, il avait su que ceci finirait comme ça, il ne serait pas venu. Pourquoi avait-il le sentiment d'avoir gâché quelque chose ? Et pourquoi ce sentiment lui fit dire cela.

"- Je suis désolé, je n'aurais pas du venir vous déranger. J'ai vraiment honte de mon comportement..."

Il ne savait dire que ces mots, il n'arrivait qu'à se culpabiliser. Au point d'en devenir lourd, mais le pire dans tout ça, c'est qu'il s'en rendait compte. Il baissa la tête et s'éloigna à son tour vers une direction opposée. Et comme pour marquer une pause, le peintre laissa finalement ses nerfs craquer pour pleurer à l'abri des regards. Ce n'était pas spécialement à cause de cette rencontre. C'était ce surplus de stress qu'il avait accumulé pour rechercher son frère et Zhae qui avaient eu raison de lui. Mais parce qu'il ne voulait pas gêner, il pleurait silencieusement pour ne pas se faire remarquer.

Allena regardait Hadrian sans vraiment savoir quoi dire, elle restait la a entendre son rire lui glaçant les veines. Comment pouvait-il rire, ses parents étaient morts, enfin sans doute, et lui en riait ce qui énerva la jeune fille, elle avait envie en ce moment la de lui foutre une baffe, elle n’avait jamais connu son père et elle était triste et lui il ne pouvait plus voir ses parents mais aucune once de tristesse s’entendait dans sa voix.

Mais elle ce calma un peu car Hadrian c’était approché de Lycast et elle se demandait a ce moment qu’est ce qu’il allait lui faire mais elle fut soulagé de voir que celui-ci s’excusait, il était vraiment étrange et il faisait peur parfois, elle ne le comprenait pas et cela la laissait perplexe. Elle allait voir Hadrian pour s’excuser d’avoir parler de ses parents mais celui-ci s’en allait, surement voulait-il être seul et elle accepta son choix.

Elle regarda elle aussi Lycast et elle put voir sur son visage une grimace, puis celui-ci s’excusa en disant qu’il les avaient probablement gêné et s’en alla a son tour. Elle se retrouva donc toute seule en plein milieu de la nuit et ne savait pas quoi faire, elle était ébranlée par la tristesse de ses deux « amis », elle avait l’impression d’être une rose rouge dans un bouquet de roses noires et elle ne se sentait pas du tout a sa place. Elle aurait voulut parler un peu plus avec Lycast apprendre a le connaître et elle aurait aussi avoir eu le temps de lui dire qu’il n’en était pour rien dans tout ça et que cela était de sa faute.
C’est vrai, après tout c’était elle qui avait parlée de ses parents, elle se plongea alors dans une profonde culpabilité qu’elle préféra être seule aussi, tout comme les deux jeunes hommes, amis elle n’aimait pas la solitude elle l’avait connu toute son enfance et était venue pour l’oublier, elle se mit donc a crier en espérant avoir une réponse ;

-Je m’excuse Hadrian, je ne savais pas ! Lycast tu n’y es pour rien dans tout ça, c’est moi et moi seule qui en suis responsable, alors ne partez pas !!!

Puis elle s’assit par terre attendant ….

[ Je me sens plus aujourd'hui, je fais des posts super ^^ Je vais profiter de ma chance pour aller répondre à Merwen dans la grande salle ^^ ]

Hadrian marchait. Il marchait calmement. C'était maintenant un grand moment de solitude. Mais ce n'était pas le première. C'était un moment de solitude comme tout les autres connus auparavant.
C'était, comme si il n'avait jamais été en compagnie de quelqu'un. Comme si, ces longues années de solitudes dans ses orphelinats n'avaient jamais été aussi près de lui. Il revivait ses instants passés avec ses abrutis de " camarades de dortoir ", que Hadrian qualifiait plutôt comme " connard pensant qu'a sa poire ". De toute façon, c'était tout le temps la même chose.
Son première orphelinat était dans le Yorkshire. Les autres aussi, mais le premier était spéciale. Il devait avoir six ans. Il venait de découvrir son pouvoir. Il était sous sa couette, et c'était le soir. Son jolie bouquin qu'il avait pris sur le bureau du prof de français était avec lui sous la couette.
Seulement, il ne voyait rien. Il pris la lampe, et appuya sur l'interrupteur. Sa ne fonctionnait pas. Il soupira, et de son pouce sortit une petit flamme. Hadrian avait alors pris peur, et se frotta malencontreusement les yeux avec la main qui était maintenant enflammer.
Un crie horrible avait alors réveiller tout l'orphelinat. Hadrian se roulait par terre, de la lave lui sortait par la bouche, et ses yeux brulait. Tandis ce que tout son corps brulait, sa couette prenait feux. Puis son lit. Puis les mur.
Deux jours plus tard, il était dans un nouvelle orphelinat. Les docteurs n'avait détecté aucune brûlure. Juste, la pupille de ses yeux avait brûlé, et était devenue rouge.
A partir de ce jour, tout le monde le haïssait. Tout le monde le rejetait. Alors il décidait de se défendre. Et plus on ne l'aimait pas. Plus sa haine grandissait. Ses yeux s'emplissait encore plus de haine et de feu.

Une nouvelle fois, une voix le tira de ses pensée. C'était encore Allena :

*-Je m’excuse Hadrian, je ne savais pas ! Lycast tu n’y es pour rien dans tout ça, c’est moi et moi seule qui en suis responsable, alors ne partez pas !!!

Hadrian tournait le dos à Allena, mais avait la tête penché sur le côté, de façon à ce que son oreille droite entende tout. Sa tête était donc tournée vers l'eau. Et le soleil orange se reflétait sur l'eau. Et donc dans ses yeux. C'était à ce moment de la journée que ces yeux était les plus beaux.
Hadrian revint sur ses pas et se positionna face à Allena :

-Hm... Je ne vois pas pourquoi tu t'excuserais. Ou peut-être ai-je mal compris... Tu n'as rien fait.

Lycast venait de se donner en spectacle, une nouvelle fois. Il sécha rapidement ses larmes, puis se calma. C'était vraiment étrange, c'était la première fois depuis longtemps qu'il se lâchait ainsi. Il voulait réellement voir son frère. Lorsqu'il entendit la voix d'Allena, il sourit timidement en pensant que sa culpabilité grandissante était contagieuse. Il se retourna, les yeux un peu rouge. Soudain, il se sentit ridicule en plus d'avoir froid. Il était en caleçon devant une fille en pleine nuit. Il ne payait pas de tête.

Il alla à la rencontre de la jeune fille et d'Hadrian leur délivrant un faible sourire. Et laissa entendre qu'il partait.

"- Désolé, j'ai un peu froid et je pense que je vous ait assez dérangé."

Sur ses mots, il leur fit un bref signe de main avant de s'en aller. Non pas que partir comme un voleur lui plaisait, seulement, la faim le tiraillait, le froid encore plus et la fatigue l'achevait.

[ désolé je dois partir, j'ai bâclé. Désengagé]

Allena était là, assise dans l’herbe froide, il faisait nuit depuis longtemps mais elle ne s’en était pas rendue compte la elle pouvait voir, elle pouvait voir la nuit noire l’entourant et elle n’aimait pas trop ça, c’était plutôt inquiétant. Elle fut soulagée quand elle entendit le spas d’Hadrian revenir sur ses pas, et elle fut encore plus heureuse quand il lui dit :

*-Hm... Je ne vois pas pourquoi tu t'excuserais. Ou peut-être ai-je mal compris... Tu n'as rien fait.*

Elle se leva et le regarda droit dans les yeux, elle n’avait jamais remarquée ses yeux, ses yeux étaient d’un rouge qui lui faisait penser à la couleur de la haine et de la couleur. Ses poils de nuques se relevèrent, le vent se levait et il se faisait vraiment tard, elle détourna les yeux du jeune homme et s’apprêtait à parler quand d’autres pas se fit entendre dans son dos, c’était Lycast, il était bizarre mais elle n’aurait su dire pourquoi. Celui-ci voulait partir, il avait froid et elle le comprenait, il s’excusait du dérangement ? Elle retourna son attention sur Hadrian.

-Je suis vraiment désolée d’avoir parlée de tes parents je ….je crois que je vais partir aussi je suis fatiguée je suis arrivée que ce matin et il faut encore que je fasse des choses.

Elle tourna le dos a son « ami » et partie en direction des cabanons, elle marcha un instant puis s’arrêta.

-J’espère qu’on se reverra. A plus !

Puis elle partie et finit par disparaître du champ de vision du jeune homme.

[désengagée]

Assis tout près d'Allena, Hadrian ne se sentait pas du tout seul. Contrairement au moment qu'il avait passé au près du peintre, et aussi du loup aux yeux bleus, et du fou qui prenait Hadrian pour son mentor, le jeune garçon se sentait en présence d'une personne qui l'appréciait. Il était encore dans ses pensées quand elle lui dit :

*-Je suis vraiment désolée d’avoir parlée de tes parents je ….je crois que je vais partir aussi je suis fatiguée je suis arrivée que ce matin et il faut encore que je fasse des choses.

L'idée d'être désolé était idiote, elle ne pouvait pas être désolé pour quelque chose dont on est pas au courant.
Elle avait ensuite rajouté qu'elle partait elle aussi. Et qu'elle avait d'autres choses à faire.

Elle s'en allait quand elle dit :

*-J’espère qu’on se reverra. A plus !

Elle voulait donc qu'ils se revoient.

Hadrian se retrouvait donc seul, Allena et Lycast était partit. Hadrian s'allongea sur le dos, les mains jointes derrière sa tête. Des ses yeux rouges, il observaient le ciel violacé. La nuit tombait, et le soleil se cachait derrière les montagnes, jusqu'à ce que l'on ne le voyait plus.
Hadrian ferma les yeux, et sombra peu à peu dans un sommeil semi profond.

[ Désengagé ]

[ J'ai du bâclé, je m'en excuse Wink

]

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