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 [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)

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Aglaee
Invité




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MessageSujet: [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitimeDim 29 Avr 2007 - 11:25

Contre le marbre du couloir, des talons claquent. Réguliers, et fait pour être remarqués, pour une fois, le silence ne sera pas l'allié de la demoiselle. Sa jumelle de coeur, aujourd'hui également serait ainsi. Blanc et noir. Jour et nuit. A l'angle de couloir apparait un fantôme, qui semble bien sur de lui. Une peau des plus blanche, peau de vampire, qui généralement fait fuir. Deux yeux de glace, deux yeux pour lesquels il est plus aisé de détourner le regard plutôt que de le supporter, tant ils sont inhumains... Humaine qui ne l'est pas... Ange aux péchés trop multiples pour être comptés. Aglaee. Une (très) courte robe noire, qui tentait depuis ce matin de frôler ses genoux, sans y parvenir. De grandes bottes, dont les talons pourraient être comparés à d'immenses immeubles tout en longueur tant ils était hauts et fin... Ca tenait donc presque du miracle si elle tenait dessus... Noir. Blanc. Un tableau sans couleur. Juste, ce glacier habitant ses yeux. Juste, une lueur éteinte derrière la violence d'un ouragan... Seule couleur bien visible, le rouge de ses lères. Rouge pétant. Rouge sang. Rouge arogant. Si votre regard n'a pas remarqué ses yeux, c'est sur ses lèvres qu'il s'attarde, avant de remonter, et de tomber sous le charme appeuré de ses yeux. Peur ou malaise ? De toutes façons, cela revient au même.

Elle marche, deux oreillettes noires également dans ses oreilles, discretes, cachées par une longue chevelure noire. Dans ses oreilles chante doucement Sharon Den Adel, la chanteuse de Within Temptation, son humeur du moment. Ses talons claquent au rythme de la chanson, mais pourtant avec deux temps de plus, histoire de ne pas trainer et d'aller à deux à l'heure... Où va-t-elle ? Posez lui donc la question, auquel cas elle s'arretera, vous regardera, vous détaillera, puis repartira sans mot dire... Comme dhabitude lorsque quelqu'un vient à un moment importunt. Elle n'en a aucune idée, d'où elle va. Elle marche, et se contente de cela. Lorsqu'elle en aura envie, elle changera d'avis, et fera ce quelle veux. Comme d'habitude. D'ailleurs, elle en a marre de marcher, et avise une porte, à quelques mètres. Cette distance franchie, elle s'arrete devant la porte en chêne, sur laquelle une ancienne gravure n'est plus visible, effacée par le temps. Eteignant son iPod, elle actionna la poignée, et entra tranquillement. Passer d'un sol dur et blanc à un vieux truc miteux en bois n'était pas fait pour la rassurer... Elle s'en foutait. Elle ne comptait pas du tout sauter sur place en criant : "LINKS !", aussi cela lui importait peu.

En fait, elle n'avait plus qu'a attendre Elle. Elle viendrait. Elle saurait la trouver. C'était si simple pour Elle. En revanche, si elle n'était aps enore arrivée à Laokess, d'autres personnes pourraient venir, si cela leur chantaient. Peu importait à la demoiselle. En attendant, elle s'était retrouvée dans une ancienne salle de classe, ou gisaient encore trois tables, une dizaine de chaise, le tout éparpillé, tandis qu'a sa droite, une estrade était encore là, avec un tableau plein de poussières, et quelques craies oubliées là. Il semblait y avoir deux fenêtres. La première était couverte depoussières, et les araignées y avait fait leur toiles... Quelle mouche censée viendrait trainer dans cette pièce de tutes façons ? La seconde fenêtre était couverte d'une planche en bois... Aglaee fit donc la supposition qu'il n'y avait plus de carreau, ou quelque chsoe comme ca... Tranquillement, elle fit le tour de la salle, écoutant avec une attention éxagérée le bruit de ses talons sur le vieux parquet moisi... Le son qui en sortait ne lui plaisait pas. Il était bien moins sec que dans le couloir. Mais elle ferait avec. S'adossant à une table, elle regarda par la porte restée ouverte, attendant. Elle savait très bien faire cela. Et d'ailleurs, elle savait que quoi qu'il arrive, quelqu'un viendrait...
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Yume
Invité




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MessageSujet: 33 Lignes   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitimeDim 29 Avr 2007 - 12:27

Elle venait juste d'être identifiée à l'entrée, et enregistrée comme élève de l'élément Air de cette école... Nouvelle école. Nouveau terrain de jeu. Le Hall ? Premier endroit ou il fallait passer ? Evidement. Lorsqu'on entre, c'est par la porte d'entre, n'est-ce pas ? Et bien vous sous-estimez Yume. Qui voudrait, franchement, faire comme les autres, et entrer par une porte ? Elle était la dernière d'entre eux, surement, avec Elle. Ses valises avaient directement été montées dans sa chambre par un employé de l'établissement, aussi avait elle contourné du mieux qu'elle pouvait le bâtiment. Cela n'avait pas été particulièremen, dur, mais vu comment elle s'était fringuée, ce n'était pas évident non plus... Aussi, lorsqu'elle s'était retrouvé face à une haute haie derrière une grille, elle ne s'était pas gênée pour demander au vent de la porter, ce qu'il avait fait volontier. Ils étaient amis de toutes façons, isn't it (Corrigée, l'erreur Wink) ? Elle s'était baladée tout autour de l'établissement en réfléchissant. Ou était-elle censée être ? Bon, autant commencer par entrer, non ? Lorsqu'elle avait appercut une toute petite porte là bas, elle s'était contentée d'hausser les épaules, et de l'ouvrir, entrant dans une petite pièce noire. Le peu de lumière que dispensait l'extérieur lui aviat permit d'appercevoir une porte totalement à l'oppsoé. Une fois celle ci franchie, elle se retrouva dans un couloir. Avec tranquillité, comme si tout cela était normal, elle pu s'y avancer. Sauf que lorsqu'elle referma la porte, elle s'appercu que celle ci faisait partie intégrante du mur. Il devait être impossible de la prendre dans l'autre sens, et encore moins de la voir une fois refermée. Bon, peu lui importait après tout. Il devait y en avoir tant...!

Ainsi, elle arpenta les couloirs, à la recherche de... de quelque chsoe, surement. Couloirs sur couloirs, salles sur salles. Claquement régulier de talons sur le sol. Lorsqu'ils claquent, c'est que l'esprit des garçons sont en général bien vite vidés de toutes pensées, et elle occupe bien rapidement leur esprit. Aujourd'hui, c'était simple. Elle avait prévu de La croiser, aussi s'était elle habillée comme les jours de grandes rencontre. Exactement comme Elle. A l'opposé. Ses longs cheveux attachés en une haute queue de cheval, deux mèches laissées libres encadran son visage. Ses yeux verts n'étaient pas soulignés, et suffisaient d'eux même de totues façon, pusique sa bonne humeur les faisaient étinceler tels deux emeuraudes. Elle portait la même robe, mais blanche, qui, tout comme Elle, tentait vainement d'attendre ses genoux, sans pourtant y parvenir, malré des efforts acharnés. Volant autour d'elle au rythme de ses pas, elle n'avait pas de musique, mais c'était comme si. De toutes façons, la chanson qu'elle avait en tête était Grace Kelly, de Mika... Qu'y a t'il de plus... Nul ? Hinnnnnnnnn... Ses pas ? Idem. Claquant. Non sechement, mais avec souplesse et bonne humeur. De hautes bottes blanches, dont leurs jumelles noires se trouvaient quelque part dans une salle vide. Certaines filles -ou mec, à vous de voir-, lorsqu'elles marchaient avec de telles chaussures, tremblaient à moitier, ce qui redait assez moche au regard des autres... Manque de chance, Yume n'était pas de cela, et vous ne pourrez pas vous foutre d'elle sur ce point.

Soudainement, elle s'arreta en plein milieu du couloir. Ducoin de l'oeil, elle avait vu une ouverture. Se tournant vers la porte ouverte, elle regarda la personne lui faisant face. Sur leur visage, la même expression : Une joie trop bien cachée, réservée, tentant en apparence d'être... Impassible. En fait, on aurait pu mettre une vitre entre les deux, ca aurait fait un magnifique miroir, dont le relet changeait de style. L'Ange face au Démon. Ne vous méprenez pas. Entre Yume qui signifie Rêve en japonais, et Aglaee que l'on surnomme Engel, Ange en Allemand, entre celle qui se fringue en noir, et l'autre en blanc, on pourrait se tromper d'Ange et de Démon. Moi je dirais qu'elle sont bien équilibrées. Chacune à sa part démoniaque, et chacune angélique. Reste à savoir quand ca va tomber... Elles ont tout de même toutes les deux un caractère hypra compliqué à prévoir, nan ?

Finalement, ce sera Yume qui laissera apparaître sur son visage un fin sourire. Aglaee. Elle même, en version gothique, surement. La demosielle se contint, et parla d'une voix assurée et pleine de bonne humeur, claire et douce.


"Cela faisait longtemps..."
Soupir de sa part, puis... "Cela faisait trois mois..."

[De 28 à... 33 Razz Cinq lignes seulement Wink]
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Aglaee
Invité




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MessageSujet: Re: [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitimeSam 5 Mai 2007 - 11:26

[Gomen Wink 4 lignes à enlever :S Déchirement ^^ Je ne sais pas quoi choisir... 38 tout juste Wink]

D'une patience presque inégalable, Aglaee avait patienté une dizaine de minutes... Ca avait été plutôt rapide. En fait, les deux demoiselles n'avaient jamais eu de contacts. J'entends par là qu'elle ne s'appellaient pas, elles ne s'écrivaient pas, elles n'organisaient aucun rendez vous,... Mais en revanche, un lien si fort les unissaient qu'elles savaient bien si l'autre était proche, ou si lointaine... Elle même pensait que cette jeune fille en face d'elle n'était pas son amie. Non, elle était bien plus que cela. C'était celle qui ne racontait pas sans cesse sa vie, c'était celle qui marchait à ses cotés, dans un slence total, se partagant une foule de sentiments. Plus que cela, c'était celle qui riait face à elle, c'était celle qui parvenait à la faire rire sincèrement, c'était celle qui pouvait se bruler pour elle, bien qu'elle n'eu jamais à le faire, et c'était une jeune fille qui ne l'admirait pas, mais qui la respectait, puisque c'était réciproque... Et pour cela, Aglaee la faisait parler avant bien du monde...

Grace à son ouïe fine, Aglaee avait entendu les talons bien avant qu'elle ne tourne le coin du couloir. Ils évoquaient la marche légere et souple d'une fée, claquantet et vivante, qu'on était obligés de remarquer tant elle faisait pour... Et bientôt, puisqu'elle s'y attendait, Elle fut là. Deux jeunes filles si semblables et pourtant si différentes... Elle garda son visage impassible, se faisant honneur, montrant ainsi à Yume qu'elle n'avait pas changée depuis la dernière fois, avant de voir sur le sourire de celle qui lui faisait face un doux sourire, fin et discret, qui -comme elle la connaissait bien- ferait fondre n'importe qui. Sa voix sonnait comme d'habitude. Claire, pleine de douceur et de bonne humeur... Cela faisait longtemps, se contenta t'elle de lui dire, avant de préciser la durée de leur éloignement. Trois mois. En effet, c'était il y a bien longtemps. Trop longtemps.

Et oui, Aglaee ne va pas répondre, pour le moment. Mais Yume est habituée, ne vous inquietez pas... Aussi, vous verrez la demoiselle noir et blanhe se lever, avec toute la tranquillité du monde, contourner la table sur lequel elle était assise, et se diriger vers la fenêtre délabrée habitée par les araignées. Elle se foutait royalement de savoir si elle les dérangeait ou non, et ouvrit l'ouverture sur l'extérieur, histoire de faire respirer cette pièce. S'étirant à mort, se déchirant lentement, les pauvres petites créatures semblaient attristées du sort qui leur était reservées. Mais une fois la fenêtre ouverte, le vent, leur élément, s'engouffra dans la pièce, créant une minuscule petite sorcière, faisant voltiger les cheveux des deux jeunes filles. Ceux d'Aglaee semblèrent s'enrouler autour d'elle, tandis qu'elle tournait son visage vers le ciel, fermant les yeux, savourant la puissance de son pouvoir qu'elle n'avait même pas utilisé, et la victoire de l'Air sur tout autre choses... Puis, enfin, les premiers coups de vents passés, elle se tourna vers Yume, un léger sourire flottant mystérieusement sur ses lèvres. Un rare sourire, me direz vous... Oui, surement... A son tour, elle parla. Faisant résonner sa voix de cristal, pure et glaciale, dans laquelle on nepouvait déceler que de la froideur, celle de l'air, lors de l'hiver.


"Trois mois durant lesquels rien n'a changé... Et où l'on a rien à se dire, ma chère..."

Ne me demandez pas à quoi sert le fait qu'elles se voient, je vous ne répondrait pas, car moi même, je n'en ai aucune idées, franchement. Elles auraient pu être ennemies, elles auraient été ainsi, également. Elle ne se disent jamais rien. Seul règne entre elles le silence, clé de tout en ce qui les concerne... Les seules choses interessantes pourraient à la limite être lorsqu'elles s'attaquent à des boulets, tandis qu'elles s'amusent comme des folles... Ce qu'elles sont surement. En tout ca, au moins pour Aglaee. Evidement, cela ne manquerait pas, aujourd'hui. Ave tranquillité, elle tendit sa main imperceptiblement vers l'avant, s'aidant de ce geste pour pousser l'air du dehors à entrer dans la pièce, contournant la jeune fille, et s'attaquant, faisant pression, sur Yume. La porte claqua violement, et la pièce sembla être emplie d'un élément trop puissant. Elles aimaient voir de quoi l'autre était capable, toujours se redécouvrir, afin de leur donner un sens... A trop êtres amies, on fini par se déchirer, telles ces toiles d'araignées quelques instants plus tôt. Si on ne l'est pas, c'est l'ennui qui s'instaure., l'ennemi héréditaire des deux jeunes filles
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Yume
Invité




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MessageSujet: Re: [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitimeSam 5 Mai 2007 - 19:10

[38 et 5, j'ai eu du mal :S Ca fait... Hinnnnnnn... 43 Razz J'ai du mal, j'ai l'impression que mes RPs sont minsucule, franchement O_ô]

Juste parce qu'Aglaee était face à elle. Juste parce que cela faisait longtemps. Combiens de temps ? Elle ne le savait pas. Elle ne le savait plus. Où s'étaient-t-elles connues ? C'était il y a si longtemps ! Depuis, elles se parlaient, indirectement, et non pas avec des mots, mais accompagnées de gestes, de regards, de sourires. De chansons, également. Les mots sortaient rarement. Elles jouaient souvent avec le silence, le vide. Et oui, elles faisaient parties des rares personnes capables de manier le vide avec déxtérité, sans rien dire, durant des heures entière, pour n'importe quelle situation. Les gens se sentaient obligés de faire quelque chose, d'agir, de parler, afin d'avoir quelque chose qui occupe leurs pensées. Ils veulent avoir toujours quelque chose, pour paraître intelligent, ou pour montrer qu'ils le sont. Mais sans vouloir vanter les qualités des deux amies, elles au moins savaient ne rien dire, et ne rien faire. Voyez, Yume pourrait rester telle que maintenant durant une heure, Aglaee aurait à tous les coups le reflexe de s'adosser également à une table sans rien dire. Et voila. Nous avons un tableau qui est très interessant dans le vide qui s'en ressort. Nous avons un texte qui l'est également car il ne décrit plus rien. Nous avons une conversatin très interessante entre les deux jeunes filles. C'est donc l'une des principales raisons pour lesquelles elles peuvent communiquer de façon subtile avec les animaux. Leurs sens de la communication par gestes, et par attitudes leur rapporte bien des choses... Bref.

A la fin, évidement, vous lisez ces lignes, et vous vous lassez, n'est-ce pas ? Aussi, je ne vais pas vous torturer longtemps avec ca... Et puis si ce n'est pas moi, ç'aurait été la chère conscience d'Aglaee, non ? Lorsque les yeux emeraudes de la demoiselle rencontrèrent ceux glacés de la demoiselle, un nouvelle fois, elle eu l'impression que le renouveau commencait. L'Age de glace perdurerait surement encore pas mal de temps dans le regard de la jeune fille qui lui faisait face, pusiqu'il était impossible d'y voir fondre les glaciers bien trop imposant pour être atteins par un quelconque réchauffement. La voyant se lever, et partir ouvrir une fenêtre, la demoiselle savait déja ce que cela signifiait. Malgré ces trois mois d'absences, elle le savait pertinament, elles n'avaient rien à se dire. Elles laisseraient donc le vent faire office de temps, pour effacer toutes traces de connaissances entre elles, et les faire disparaitre des pensées de l'autre... Les effacant de leur esprit respectif. Elles se redécouvraient. C'était en tous cas ainsi que le voyait Yume. La voyant face au soleil, elle eu un sourire discret... Elle aimait voir le soleil tenter d'éclairer la peau de son Amie, qui ressemblait à une trop belle poupée gothique. Peau blanche. Noire. Angélique. Elle la voyait ainsi, et était fière d'elle, mine de rien. Elle ressemblait à une fragile poupée de porcelaine, oui... Mais était loin d'être fragile, en revanche.

Voyant ses yeux se teinter d'un sentment particuler, la demoiselle se mit imperceptiblement sur ses gardes... Et elle n'eu pas tord. L'air s'enroula autour d'elle, semblant vouloir la bousculer, connaitre ses limites, la fatiguer, l'anéhantir. Sans sourire, Yume se reprit, et s'ancra au sol... Si toutefois elle se soulevait, elle n'aurait plus la concentration necessaire. Sans attaquer, elle repoussa les assauts de l'Air envoyé par Aglaee. Nul effeort, dans ce petit exercice pratique... A son tour, elle choisit d'envoyer une rafale d'air à celle qui lui faisait face, avant de la vider de tout air environnant. Autour d'eux, l'oxygène partit, ainsi que le reste, et le vide prit place. Peut lui importait, de toutes façons, elle pouvait tout de même respirer... Et Aglaee aussi... Ce n'était pas nouveau. Mais que dire. En fait, Yume serait déja lassée de ses assauts, et n'avait nullement l'intention de s'occuper à envoyer des boulettes d'air, qui ne faisaient rien. D'un geste significatif de la main, un coup de vent inatendu fut destiné à envoyer l'Autre au-dehors. Rien ne l'avait prévu, puisqu'il était convenu entre elle qu'elles attendent légerement. Désormais, très franchement, peu lui importait. Au mieux, Aglaee se prendrait le mur de dedant, puisque l'air qui provenait de derrière Yume était censé l'avoir littéralement projetée, afin de la surprendre. Désormais, elle savait que la gothique saurait passer à autre chose... Ce qui n'était pas forcément plus mal... Mais qui pouvait devenir dangeureux, connaissant la personne.


Edit Irys => Eh, les filles, je me permets de vous faire remarquer que l'important est la qualité et non la quantité Wink. Faites attention, à vouloir en faire trop, des fois, ça peut rendre le post moins bon...

Edit Yume -> Entre nous, nous partons du principe que les autres ne nous lisent pas... Ou que cela ne les oncernent que s'ils viennent, or, nous havons également l'habitude de nous faire des posts vide de sens, mais tout en longueur Wink]


Dernière édition par le Dim 6 Mai 2007 - 0:51, édité 1 fois
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Aglaee
Invité




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MessageSujet: Re: [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitimeSam 5 Mai 2007 - 22:12

[Je suppose qu'on a donc pas le droit de tenter de faire de trop longs RPs... Je vois pas trop ce qui dérange. On le fait pour nous, et si ca vous plait pas, pourquoi pas nous bannir Rolling Eyes 5 lignes minimum, franchement, j'ai du mal... ]

Un soupir.

Un seul suffit à tout arreter. La pièce se remplit à novueau d'air, et Aglaee, écrasée contre le mur de la salle, se défit de toutes la pression qui l'entourait. Elle n'avait plus rien à faire ici, apparement... Elle ne pouvait plus tenter de s'améliorer, apparement. Elle ne pouvait plus rien faire, ce n'était plus de la liberté, ce n'était que des reproches et interdictions. Avec tranquillité, elle sortit de la pièce, après s'être arretée dans l'encadrement de la porte, et lancer un dernier regard en arrière. Elle n'avait plus rien à faire à Laokess, et Yume n'y pouvait rien...


[Gomenasai, Yume, ca fait un peu bizarre, presque Powergaming, mais bon... En cinq lignes...]

Edit Irys => Vous avez pas compris ce que je voulais dire les filles. Vous êtes là en train de faire des rivalités pour le nombre de lignes, c'est tout, je remarque, et je vous le fais remarquer, puisque, contrairement à ce que tu dis Yume, vous n'êtes pas les seules à vous lire. Je vous rappelle seulement que y a pas que le nombre de lignes qui font qu'un texte est beau. Alors, maintenant si tu t'es vexée Aglaee, c'est bien dommage, parce que vous n'avez pas compris ce que je disais. Je ne critique pas les longs posts, seulement, ils sont assez rares comme ça sur Laokess. Mais faire des lignes pour faire des lignes je trouve ça bête, mais c'est mon point de vue, je le donne, c'est tout. A aucun moment je vous ai dit de plus poster, de faire plus court et etc... Après si vous vous vexez (enfin, surtout toi Aglaee)...

Edit Eraykes ---> Hey oh! On a pas dit 5 lignes maximum non plus!
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ExNihilo Rin
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MessageSujet: Re: [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitimeDim 13 Mai 2007 - 2:20

Ceux qui gardent le Temps s'assurent de son bon écoulement. Le Sable des événements immobiles s'égrène entre leurs doigts afin que les aiguilles de la Grande Horloge retrouvent l'élan perdu. Les individus se raniment, le Fil du Temps est réparé.


À la manière d'un tableau abstrait, quelques taches de couleur étaient jetées çà et là dans une pièce à la transluscence obscurcie de poussière : blanc, noir, rouge, vert. Telles deux courants d'airs, les jeunes filles se rencontrèrent, s'affrontèrent et se dispersèrent. Le vent leur ami s'est invité à la partie. Et quand il eut fini ses facéties, finie aussi l'aphasie. Les aiguilles claquèrent sur le sol de verre une fois encore, brisant le silence qui pourtant est d'or. La jeune fille en noir disparut dans le couloir, suivie bientôt par la fille au teint opalin. Au revoir les midinettes en jupette.



[ Utiliser des -e muets et des sifflantes, c'est vraiment pas mon truc... J'en ai les larmes aux yeux d'écrire un texte aussi vide, plus jamais ça s'il vous plaît T-T ]
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MessageSujet: Re: [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini)   [S4] Quand les talons claquent, l'esprit se vide (fini) Icon_minitime

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