Semaine 18, Environ 4 heure du matin.
« J’ai donné ma lettre contenant le formulaire au facteur, le lendemain matin. Il fallut que j’attende environ 1 semaine avant de recevoir une réponse. Ma tante m’a dit que c’était une école prestigieuse reconnu et que mes parents m’y avait inscris a ma naissance. [oui oui, on sait, vous pensez à harry potter^^] La réponse était courte, elle remerciait d’avoir remplis le formulaire et de mettre inscrit dans leur école, qui semblait s’appelé « E 3 ». Le simple papié, plié en 3, était accompagné du petit carton ou était écris une adresse. Je ne comprenais pas ce que cela signifiait et me reporta alors au précédent papier. Il était indiqué « si joins, l’adresse de l’aéroport ou vous devez prendre votre vol ainsi que le billet ». En effet un petit billet aux bords dorés était résté au fond de la lettre. Je devais allé à l’adresse indiqué dans 2 jours.
Je profita de ce l’abs de temps jusqu’au décollage pour me préparé. Je bourra une valise noir qui trainait dans mon armoire de toutes les bricoles qui me serait utile, accompagné du cadre qui représentait mes parents, habituellement posé sur ma table de chevet. Les 2 nuits qui précédaient furent longue, je n’arrivais pas à dormir…le stress…sans doute…Vin le jour J. Je me levais au alentour de 8h30, l’avion était à 14h, j’avais le temps. Mais je préférai ne surtout pas être en retard et prendre le temps qu’il fallait pour partir. Ma tante n’avait pas de voiture, il fallait donc que je prenne le taxi, j’ai suis partis vers midi de cher moi, après avoir englouti mon déjeuné et reçu un bisou baveux de ma mère qui ne cessait de pleurer. Je pris un taxi sur Springfield Street, la rue qui longeait la mienne. Il m‘amena a l’adresse indiqué. Il m’aida à descendre ma valise du coffre et, après que je l’eu payé, partis en trombe. Bizarre…rien à l’horizon, un terrain vague…est ce que c’était une blague ? Dans ce cas là, elle était de mauvais goût ! J’attendis là environ 5 min, puis je décida d’allé inspecté la plaine qui s’étendait devant moi. Au bout d’une vingtaine de mètres, je commençai à distingué les contours d’un escalier. Il semblait apparaitre dans le paysage. A pas feutré, prudent, je m’approcha de celui-ci. A ma grande stupéfaction, tout un bâtiment, assez imposant apparu. Je retourna sur mes pas, pour cherché ma valise, en me retournant, l’édifice n’était plus là. Je retourna ou l’escalier c’était manifesté, et, comme précédemment, je le vis. Je monta ses marches, et poussa une lourde porte qui donnait sur un immance hall immence ou des centaines de personnes affluaient. J’étais émerveillé, l’architecture était curieuse, je n’avais jamais vu cela de toute ma vie. Les murs étaient tous transparent, c’étaient des vitres !Les murs étaient des vitres !! Je traina ma valise jusqu’à un guichet et présenta mon billet. L’hôtesse, qui me souria aimablement me fit signe de m’assoir et d’attendre que l’on annonce mon vol. C’était le vol 244, à destination de Laokess. Je profita de l’heure qui m’était donné pour me renseigné un peu sur là ou j’allais vivre.
Je me dirigea vers un immense panneau, ou était affiché une publicité de l’école. En bas à droite, on pouvait distingué les contours d’une carte. C’était une Ile, petite, environ 125 km de long. L’école était sur la pointe, au Nord-Est. La ou je devais arrivé était une ville de la bordure, au Sud. Le temps passa très vite et rapidement, on annonça mon vol dans le haut-parleur. Cette voie semblait indiqué qu’il fallait se dirigé vers les portes vertes, qui étaient sur ma droite. A ma surprise, beaucoup de personnes se dirigèrent dans la même direction que moi. Sans doute étais-ce d’autre futur élève de l’école. J’arpentai un long couloir qui semblait relié le bâtiment à l’avion. Mais le véhicule qui allait m’emmené sur l’ile était différent des avions normaux. Il était moins largue, mais plus long, et les ailes étaient plus petites, de plus, il possédait, non pas un, mais deux ailerons sur le dos. Sur mon billet était indiqué le n°123, le numéro de mon siège, ou plutôt de ma couchette. Le voyage devra donc être long de New-York à Laokess. Je m’allongea sur ma banquète et a ma grande surprise l’avion décolla presque aussitôt, pas besoin de s’attaché, ou de prendre des précautions. D’autres élèves étaient sur des banquêtes, tous aussi perplexe de moi. J’étais pensif, l’avion semblait gondolé comme un bateau sur l’eau. J’étais bercé par ce mouvement. Je finis par m’assoupir et m’endormir, le stress m’avait quitté, je n’avais pas d’autre occupation avant la fin du vol, que de dormir.
Je fus réveillé par une hôtesse qui vint gentiment me levé. Elle m’annonça que nous étions bientôt arrivé et qu’il fallait que je sois bien éveillé à mon arrivé. Je demanda l’heure poliment et elle me répondit qu’il était 4h du matin. Déjà certains élèves avaient sympathisé et il régnait dans l’avion, une certaine euphorie. Nous nous possâmes, 5 minutes plus tard, sur le tarmak. On nous indiqua de bien vouloir descendre dans le calme. La nuit était noir quand je franchi le palier de l’énorme porte précarisé de l’avion. Les gens chuchotaient, on nous avait dit de faire attention à de pas faire de bruit en arrivant. Que les habitants dormait et que sur l’ile, le respect d’autrui était important. Une fois en bas je m’assoie sur ma valise, afin de reprendre mes esprits. Je ferme mon journal, que je reprendrai plus tard. »
Une silhouette vint alors dans la direction de Derek, à sa grande stupéfaction, celui-ci, lui adressa la parole.