[S18] Comme chien et chat [libre] (fini)

Invité

Dimanche, 19h30:

Elina avait le souffle coupée devant toute cette splendeur, se n’était pas tous les jours qu’elle voyait un portail en cristal et la couleur qui s’y reflétait donnait une impression d’irréalité. Elle était si joyeuse, c’était le paradis autour d’elle, la faune et la végétation était totalement différente que celle de son village, l’espace s’en fois plus grand et elle se sentait déjà chez elle. Elle ne pouvait pas contenir plus longtemps le torrent de joie qui l’envahissait peu à peu, et dans un élan de gaieté elle lâcha sa valise et se mit a sautiller dans tous les sens en poussant des cris de joies qui alerta tout le monde. Peu importe le fait qu’en ce moment tous les visages étaient rivés sur elle, peu importe qu’on la prenait déjà pour une folle, peu importe qu’on ne l’aimait pas, la trouvant trop exubérante, folle ou tout simplement gamine ce qui comptait le plus c’était qu’elle était chez elle, qu’elle se sentait bien ici et que tout respirait la tranquillité. Elle ne pouvait plus rester en place, elle n’était pas du genre calme, elle était hyperactif et sa avait été un grand effort pour elle de ne pas avoir bougée pendant le voyage. Mais, maintenant qu’elle s’était lâchée elle ne s’arrêterait plus, tout comme l’eau elle continuera de couler même si on essayait de la couper ! Après avoir fini son petit cinéma, il fallait qu’elle installe ses affaires, elle ne comptait pas porter sa grosse valise toute la journée. Elle était aussi pressée de faire la visite des lieux et elle avait hâte de découvrir sa chambre. Elle se l’imaginait déjà, grande, avec un bon lit deux places, des dizaines de peluche, un bon canapé pour y lire, un frigo pour pouvoir y boire et manger a son aise, un téléphone pour contacter de temps en temps ses parents, et surtout être seule ! Il était hors de question de la partager, cela ferait trop d’inconvénients, tout d’abord parce qu’il est rare d’avoir le même goût, c’est une fille très extravagante et de plus, peste comme elle est, se serait vraiment extraordinaire si elle s’entendait avec son ou sa colocataire.
Après plusieurs minutes à sautiller, elle s’arrêta enfin et entra dans le Hall. Il était guère remplit à cet heure ci, mais pourtant il y avait pas mal de personnes. Il y avait un brouhaha pas possible, et elle arrivait a entendre quelque bride de conversation par-ci par-là. Elle se faufila tant bien que mal entre les élèves, n’hésitant pas a pousser tout ceux qui la gênaient. Elle ne fit pas vraiment attention aux injures que lui lançaient certaines personnes, elle n’avait pas envie de chercher la bagarre, du moins pour l’instant. Mais, elle s’arrêta net, c’était inutile de foncer puisqu’elle ne savait pas vraiment ou aller, on ne lui avait donné aucun plan rien, et elle trouvait bien ça irresponsable. La moindre des choses était au moins de renseigner les nouveaux et de leur faire une visite guidée, mais non, rien ! Elle le trouvaient bien incompétent le directeur, et elle ne ressentait aucune estime envers lui même si elle ne le connaissait pas. Elle chercha un instant du regard, elle voulait demander son chemin mais surtout pas à n’importe qui. Déjà elle voulait parler à un garçon, les filles étant bien trop bavarde et trop chiante, et puis quelqu’un d’un peu plus grande qu’elle, les gamins ne l’intéressant pas. Puis, alors qu’elle continuait à chercher, quelqu’un la bouscula, ce qu’elle ne supportait pas. Elle se retourna, piquée au vif et cria à l’inconnu.

<>

[On est passé en S18 jeune fille^^]

[Et les règles d'écriture sont toujours les mêmes ^^]

[Edit Kenfer: Ouai en plus!!!Naméoh! Je l'avais vu bien sûr ma petiote, je voulais seulement.... Heu... Vérifier si vous y faisiez attention!]

Un bruit se faisait entendre dans les alentours d'une chambre où résidait une semi-obscurité un drôle de bruit se faisait entendre, un bruit pas si inhabituel que ça à part si vous l'entendez en plein jour... dans cette chambre close, donc, un ronflement résonnait mais s'étouffa d'un coup au même moment où un enfant d'un âge moyen se leva brusquement d'un lit en mauvais état. Ce même enfant s'étira pour ensuite enfiler quelques affaires et hurler :

<< J'AI DORMI COMME UN LOIRE ! >>

Puis il sorti. Le jeune idiot balançait sa tête d'avant en arièrre, de gauche à droite irrégulièrement; presque jusqu'à en faire des cercles. Le jeunot posa sa main sur son fourreau puis au bout d'une dizaine de minute se rendit compte que... qu'il avait oublié son arme. Il posa l'une de ses chaussures au sol pour ne pas oublier sa position puis courrut vers sa chambre; là où il empoigna son fourreau et sa lame puis reparti vers sa chaussure laissée au milieu des personnes environnantes dans les couloirs et autre. Crisis observa le sol où il avait normalement posé sa chaussure... sauf qu'elle n'y était plus. Le gamin devrait sûrement avoir l'idée de se les avoir fait voler... enfin, sûrement; mais pas avec ce cas. Il courrut donc jusqu'au tout premier étage jusque dans le hall, là où il chercha un peu dans tous recoins et zones qu'il jugeait suspect. Son idée ? Une idée que n'importe quel crétin ne serait même pas apte de penser :

<< Mes chaussures... ! Elles marchent toute seule... >>

Après près d'une heure de recherche, il se demanda veinement ce qui lui avait prit de laisser un vêtement au milieu du chemin... mais la réponse venait bêtement : ne pas se perdre. Au bout d'un moment, Crisis s'assit au sol toujours sans prendre garde au regard des autres, restant bien en tailleur sans un mot, seulement une expression désespérément idiote sur le visage. Quelques heures de réfléxion ou plutôt de sommeil plus tard, suivit d'un autre bond en avant qui lui permit de percuter une personne qui voulait la lui rendre cher, cette personne avait même l'air de lui crier dessus; comme une nouvelle arrivée à qui l'endroit ne plaisait pas mais l'andouille décida tout de même de lui répondre :

<< Ah ! Désolé, j'avais la tête ailleur, j'éspére que je ne t'ai pas trop fait mal ! En tous cas je suis Crisis, le seul, l'unique ! >>

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[HRP : Si tu veux que je fasse plus de ligne, dis-le, j'avoue que je suis pas mal flemmard. ^^ /HRP]

Invité

À peine Hirro sortait-il de la forêt qu’il fut frappé par la splendeur des lieux. Un magnifique portail de verre fermait l’accès au bâtiment resplendissant de l’E3, plus impressionnant que dans tous ses songes. Hirro n’était pas du genre à manifester ses émotions, mais, là, devant un tel spectacle, il ne put s’empêcher de laisser s’échapper un cri de joie, il arrivait enfin. Il franchit le portail en courrant, émerveillé par un tel monument. Sa valise lui semblait, tout à coup, légère comme une plume. Il pénétra dans l’école, courant à toute allure dans les couloirs, les gens le regardaient étrangement, il ne devait pas êtres habitué à ce genre d’événement. Mais, Hirro s’en moquait, tout ce qui comptait pour lui c’était d’explorer cet endroit inconnu. C’est après une bonne demi-heure de course qu’il se rendit compte qu’il ne savait pas du tout où aller et qu’il était complètement perdu. Il aperçut alors un élève, titubant et roulant la tête, un tel spectacle étonna Hirro qui se teint à distance. L’étranger s’arrêta, regarda sa ceinture puis, partie en courant, laissant sa chaussure en plein milieu de la foule. Hirro, intrigué, se dit qu’il l’avait peut-être laissé tombé involontairement. Il se mit alors en quête de lui ramener. Il ramassa la chaussure et suivit l’inconnu à distance. Hirro n’était pas habitué à se déplacer dans une telle foule et se fit bientôt distancer. Il partit donc, errant dans les couloirs, à la recherche de l’étrange bonhomme qui avait perdu sa chaussure. Quelques minutes plus tard, il l’aperçut enfin, assit en tailleur. Il s’approcha, mais, d’un coup, l’étranger se releva bousculant une jeune fille. La fille cria et l’inconnu s’excusa. Hirro décida que c’était le moment, il s’approcha du jeune homme et dit en lui tendant sa chaussure :
« Euh… Bonjour, je crois que vous avez perdu ça… »

Dans la forêt, tout était calme, sauf peut-être les quelques bruits d'animaux. Il était 19h 40, la nuit était presque déjà tombé et seul un petit rayon de soleil éclairait encore Laokess et l'E3. Tout les nouveaux, ou presque, étaient arrivés dans le hall d'entrée qui les émerveillait tous. Un bruit commença à se faire entendre dans le fond de la forêt. Un bruit mécanique. C'était un moteur de motocyclette qui faisait tant de bruit, dérangeant alors les petits animaux et le calme de l'E3. Léoi chevauchait ce véhicule deux roues, qui était un héritage de son grand-père, qui avait un peu le style d'une Harley. Se rapprochant de plus en plus de l'école, et faisant de plus en plus de bruit avec sa bécane, Léoi sortit de la forêt à toute vitesse et passa le portail juste avant qu'il ne le ferme. Le jeune garçon ne remarqua presque pas que celui-ci était en cristal et que ses couleurs étaient de toute beauté. Arrivant alors dans le hall d'entrée, il ralentit un peu et bifurqua de coup sec sur la droite en freinant, montrant le flanc gauche de sa motocyclette. Il ferma le contact et descendit de sur sa bécane, sous les yeux de tous. Il les regarda tous du coin de l'oeil et soupira tout en emmenant son véhicule deux roues vers un pilier sur la droite. Il sortit une chaîne métallique de son sac et attacha sa motocyclette au pilier pour ne pas se la faire voler. Le jeune garçon se craqua les jointures avant de se retourner vers tout le monde qui le regardait. Léoi leur jeta un regard menaçant tout en disant :

«Si un seul d'entre-vous touche à ma bécane, j'peux vous l'jurer qu'il le regrettera toute sa vie... si il en aura encore une.»

Toujours sous le regard des élèves et d'un ou deux surveillants, Léoi s'adossa au pilier et s'assit par terre tout en déposant son sac à dos à côté de lui. Tout le monde avait une, deux, voir trois valises avec lui, mais pas Léoi. Il n'avait apporté qu'un sac à dos remplit de vêtements et de sa brosse à dent. Pour lui, c'était le strict minimum et surtout le nécessaire. Comparé à tout le monde qui était impatient et excité à l'idée de voir leur nouveau chez eux et d'apprendre l'art de maîtriser leurs éléments, Léoi était C-O-M-P-L-È-T-E-M-E-N-T indifférent. Si ce n'avait été de ses parents, il serait resté chez lui à glander ou à aider son père dans l'affaire familiale. Malheureusement, il dût attendre dans ce hall avec tous les autres que quelqu'un vienne les diriger.

[Elina > Repasse lire les règles d'écriture, steup =.="]

Crisis ouvra la bouche, héberlué de voir sa chaussure... Ainsi donc elles ne marchaient pas toute seule... Mais quelle idée ! Le jeune garçon se torturait l'ésprit au niveau de sa naïveté... Ca pour être naïf, il l'est ! Crisis observa Hirro avec des yeux ronds, puis sa chaussure, puis sans même prévenir, il arracha sa fameuse chaussure des mains du garçon puis la fit tomber. Il donna un grand coup de pied dedans en voulant la ramasser puis le vêtement attérit en fin de compte sur un objet plus ou moins massif, dans un bruit métalique. Crisis observa la trajectoire de la chaussure pour laisser son regard finir sur un engin à moteur placé derièrre un autre garçon à l'air menaçant... Il sourit puis s'approcha mais finit par s'arrêter puis se retourner, saluant les deux autres venus en se présentant :

<< Merci à toi de m'avoir ramenné ma chaussure ! Je suis Crisis, au cas où tu tiendrais à le savoir. >>

Une fois devant le " nouveau venu " Crisis resta debout devant lui, les bras croisés, une lueur de défie dans le regard. Il réafficha un grand sourire puis poussa un petit rire proche d'un bruitage, ses pensées allaient immédiatement à un point précis de son cerveau... C'éait comme ça à chaque fois.. Toujours à la rencontre d'une nouvelle personne il se trouvait provoquant et la plupart du temps, il finissait par engager un duel... Ca depûis son arrivée, il était vraiment intenable !

Crisis décroisa les bras pour plonger son regard dans celui du garçon et fourra ses mains dans une veste de couleur noir; se vêtir correctement pour des duels correct disait-il... Aucun sens ! Une fois le regard détaché l'idiot regarda sa chaussure aux côtés de la " motocyclette " et finit par ouvrire la bouche, un petit sourire restant gravé sur ses lèvres :

<< Je pourrais reprendre ma chaussure malgré le choc qu'elle a causé à ta voiture ? >>

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[HRP : Irys, je crois qu'Elina a du mal à se connecter, ou alors elle ne va pas souvent voir le sujet. ^-^ /HRP]

Restant assit au sol, Léoi assista, malgré lui, à un spectacle ridicule. Un garçon avec des cheveux blond-blanc arracha des mains d'un autre gars une chaussure qu'il fit tomber par terre juste avant de la "kicker" sur la bécane de Léoi. Celui-ci grogna de mécontentement en regardant le gaffeur. Quand on parle du loup, celui-là même s'approcha de Léoi en le regardant dans les yeux avec un air de défi. Woulf (Léoi) se leva aussitôt et se craqua les jointures, montrant qu'il allait le cogner. Il détacha son regard de sur l'impertinent pour remarquer qu'il avait un katana à sa ceinture. Il sourit en coin. Mais ce ne fut que de courte durée, puisque Crisis fourra ses mains dans ses poches en disant la plus grande idiotie que Woulf eut à entendre.

«T'es vraiment bête toi. C'est pas une voiture, c'est une motocyclette modifiée avec moteur consommant 10 litres aux cent kilomètres avec accélération 0-100 km/h (62,14 miles par heure) en 8,1 secondes. Et simplement te dire que si tu veux te battre... tu vas perdre. Pourquoi? Eh bien parce que tu as fait la gaffe de mettre tes mains dans t'es poches, le manche de ton katana vers moi, ce qui me donne l'avantage puisque je peux tirer ton arme vers moi pendant que tu sors tes mains qui risquent de se coincer dans tes poches si tu les sors trop vite. Mais t'as de la chance, reprends ta chaussure et assures-toi de bien nouer tes lacets. En passant, moi c'est Léoi, mais appelle moi "Woulf".»

Woulf tendit sa main vers Crisis de manière assez polie. Il ne sourit presque pas, et ne pensa pas vraiment. Il se méfiait des mecs qui le défiaient car ils pouvaient s'attaquer à lui ou se retourner contre lui s'ils accompagnaient Woulf. Celui-ci regarda vers un escalier et vit quelqu'un arriver. Enfin, cela devait sûrement être un enseignant. Tout le monde devait être impatient. Léoi aussi d'ailleurs. Pas impatient d'excitation, mais de lassitude. Il en avait marre d'être entouré de ce qu'il semblait être une bande de crétins qui ne pensaient qu'à la "magie des éléments". Ils ne comprenaient donc pas que ce n'était qu'un désastre d'avoir de tels pouvoirs?

Dernière édition par Crisis le Lun 23 Mar 2009 - 1:29, édité 1 fois

Crisis haussa un sourcil... Il s'en balancé royalement des différences entre machine, mais là, il avait la ferme impression de se faire prendre de haut, et même de très haut ! Le garçon renfila sa chaussure après l'avoir ramassée. Crisis ne prit même pas la peine de serrer la main du garçon mais inclina légèrement sa tête vers l'arièrre, souriant un peu et décida d'au moins répondre, il se retourna :

<< Moi, c'est Crisis et je te conseillerais de ne pas trop me chercher ! Ahah. >>

Après une phrase encore stupide qui allait bientôt entrer dans son long répertoire, il fit demi-tour, il passa près de Hirro et d'Elina puis leur adressa un petit coucou : il était trop fatigué pour pouvoir rester debout plus longtemps : il s'entraînait d'arrache pied pour essayer de développer son élément qu'il n'arrivait à manifester que sur le biet de quelques forts sentiments comme la colère qu'il éprouve souvent au bout de certains combats... Il passait aussi beaucoup de temps à pratiquer sa télépathie sur des objets quelquonques, mais ça encore, il n'y arrivait presque pas...

* Ah... Je manque encore d'éxpérience mais... Il faut que je trouve quelqu'un pour m'aider... *

[Désengagé.]

Invité

Une belle journée que voici, une marche lente et agréable, Ash ne devrait pas tarder à arriver à l'endroit qu'il doit se rendre: E3

En tout cas depuis qu'il est arrivé sur cette île il y a pas mal de chose à voir, des enfants, non pour être précis des Adolescents portant des armes, leurs tenues sont toutefois fantastique, à ce qu'il pourrait se rappeler un genre final fantasy, le célèbre jeu rpg basé entre l'ère moderne et du fantaisie... Et lui ? Un pantalon marron, chemise blanche couverte de manteau qui est aussi marron, bien entendue ses chaussures est un modèle pour les alpinistes, enfin un ordinaire, peut-être que pour eux cela peu se trouver étrange, comme nouveau style d'habit.

Bien qu'il pense à tous ça dans sa tête il n'a pas vue le temps passer, surtout qu'il est déjà arrivé à sa destination, regardant donc cette énorme muraille dont la matière est faite de façon inconnue mais qui reflète comme du diamant, juste une merveille, et encore ce n'est pas tout! La porte, l'imposante et sûrement gigantesque double-portes, faite de la même manière que les murs avec un ajout supplémentaire de ces décorations du genre féerique et ainsi dont le coût que pourrait représenter. Vue le décors elles valent... En fait elles ont une valeur supérieur qu'à construire Tokyo Tower. Ash est sûr qu'il est au bon endroit, vue que c'est écrit en grand lettre "E3", décidant à continuer à marcher en direction de l'entrée, avant de pénétrer sur le lieu il voit un groupe de jeune, il est probable qu'ils font partie du même établissement. Au même moment l'un d'eux quitte, il semble en avoir assez, dans ce cas là il décide de s'approcher du reste:

"Yooooo!" dit-il comme tout les japonais qui voulant s'adresser à d'autre personne "Vous êtes de cette établissement ?"

Se rapprochant de plus en plus, Ash s'arrête près d'eux et leur adresse une nouvelle fois:

"Car en fait je suis... Comment dire... Un nouveau, je viens tout juste d'arriver de cette aéroport, là-bas" dit-il en pointant sa main en direction de l'aéroport "Je suis venue ici pour rencontrer le directeur de cette école, quelqu'un sait où l'on pourrait le trouver ?"

Quoi que là personne n'ose lui répondre, se grattant la tête, affichant cette sourire bête puis dit:

"Bon ba ça ne fait rien, désolé pour le dérangement..."

A la suite il entre dans l'établissement, sans savoir quoi faire, enfin peut-être...

[Désengagé!]

[Bien que c'est un mardi que j'arrive pas d'autre mot à dire xD]

EDIT: j'ai du faire un petit passage pour que je puisse posté enfin dans E3, donc une passage éclaire donc dsl, obligé xD

Invité

Dearon Eöl était affligé par ce qu’il venait de voir. De tous les côtés, des personnes plus exaspérantes les unes que les autres. Certaines sautillait comme si leur vie en dépendait, d’autres se défiaient… Etait-il venu ici pour regarder pareil spectacle ? Et puis, pourquoi était-il venu ici de toute façon ? Dans un soupir, Dearon changea de position. Appuyé sur un mur de sorte à pouvoir observer les élèves à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment de cristal.

*Encore heureux, se dit-il, personne ne vient m’importuner comme le veint de faire ce garçon naïf avec sa chaussure…*

Et encore, il en souriait presque. C’est vrai que ça fesait longtemps que ce n’était pas lui qui embêtait les gens. Sauf que lui s’y prenait beaucoup plus … comment dire … volontairement !
Dearon aurait, de plus, aimé les voir utiliser leurs pouvoirs. Même en étant très observateur, le talent ne se lisait malheureusement pas sur le visage. Surveillant du coin de l’œil ses sacs il voulut aller à la rencontre de l’élève maladroit, mais un autre inconnu vint lui barrer le passage, criant à tue-tête qu’il voulait rencontrer le directeur. Il n’avait apparemment pas saisit qu’il était entouré de plus de nouveaux élèves que d’élèves qui aurait pu le guider. Ignorant alors royalement le jeune homme qui s’en alla autre part, vexé que personne ne lui prête plus d’attention que Dearon lui-même, il se remis dans sa position initiale, contre le mur de cristal.
S’avisant qu’il avait perdu la trace du jeune maladroit, il soupira une fois encore et le chercha du regard, à travers le mur de personnes et de conversations. N’ayant plus l’habitude d’être entouré, il se demandait comment fallait-il réagir si jamais quelqu’un lui adressait la parole. Le brouhaha se dressait devant lui et lui donnait l’impression d’être écrasé par l’incompréhensibilité.
Ne sachant plus où aller pour sortir de cette situation, il bougea ses affaires plus à l’extérieur, et alluma une cigarette sortie de sa veste et fit le vide dans sa tête.

- Y’a que toi qui me comprends ..! souffla-t’il à sa cigarette avant d’aspirer une nouvelle fois en fermant les yeux.

Sujet: Re: [S18] Comme chien et chat [libre] (fini) Mer 9 Sep 2009 - 0:11

[ Pas une seul connecté depuis Mars, pas d'absence annoncée, je boucle. ]

Ceux qui gardent le Temps s'assurent de son bon écoulement. Le Sable des événements immobiles s'égrène entre leurs doigts afin que les aiguilles de la Grande Horloge retrouvent l'élan perdu. Les individus se raniment, le Fil du Temps est réparé.

"Hey, les valises, dans les cabanons !"

Xumrsk est en route pour le réfectoire lorsqu'il croise à l'entrée du bâtiment un élève la clope au bec et n'hésite pas à lui faire remarquer qu'il gêne le passage, lui qui est également chargé comme un mulet. Et oui, ce sont les joies d'être préposé au matos d'expédition, on doit tout ranger quand tout le monde a fini de faire joujou.

"C'est près du lac, dans mon dos. Maintenant, merci de te POUSSER, j'aimerais ENTRER."

Les grandes portes s'ouvrent sous l'action de mottes de terre les repoussant puis se referment lorsque ces dernières se désintègrent. Pratique. C'est donc avec autant d'amabilité que Zoo se fraye un chemin dans la foule d'affamés.

"Hé ho, de l'air, vous voyez pas que j'en ai plein les bras ? Hé , vous deux là, oui vous, avec vos fichues valises ! Allez me les fiche dans vos cabanons, elles n'ont rien à faire ici ! Je veux pas en voir une seule dans le refectoire, merci !"

Oui, Elina et Leoi ont été pris en grippe et ils sont partis pour être privés de dîner dès leur arrivée s'ils ne se dépêchent pas plus de ranger leurs affaires et d'effacer cet air ahuri de leurs faces...

» (S11) Une arrivée comme il y en a eu tant d'autres .( libre)
» [S13]Comme pétrifiée (fini)
» [S6] « C'est mon odeur qui les repousse comme ça? » [Fini]
» [S13]Une entrée pas comme les autres ... (fini)
» [S18] Une arrivé comme tellement d'autre [fini]