[Semaine 13] Une envie de rien (libre) [fini]

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L’hiver protégeais la nature de son manteau blanc, recouvrant arbre, fleur et autre végétal. Certes, le paysage était mirifique mais un tel endroit au printemps, lorsque les bourgeon commencent à se montrer, devait être beaucoup plus intense de part ses couleurs et ses parfums. Pourtant, malgré ce décor pâle et frais, qui faisait flotter une légère douceur dans l’atmosphère, on pouvait sentir qu’il avait té le témoin de bon nombre de dégât. Les arbres autour du lac étaient écorchés vif, le sol était ravagé et la neige à ces endroits, semblait beaucoup plus molle, moins pure que celle qu’il avait déjà pu observer à son arrivée.

Et pourtant, malgré cette constatation, Ji’ se sentait serein, tranquille ; ici tout semblait différent de chez lui où on le trimballait de maison en maison comme un vulgaire pantin et même s’il n’avait encore croisé personne, il sentait dans cet environnement, une chaleur humaine qui le troubla un peu au début. Il n’avait jamais eu ce genre de sentiment auparavant, pour lui les gens étaient tous les mêmes, tous des ordures et principalement les adultes. Comment aimer la main qui vous fait souffrir.

Quelques flocons tourbillonnaient alors qu’il se dirigeait vers le lac gelé qui reflétait le soleil dominant les nuages. Ce n’était pas la première fois qu’il voyait de la neige et pourtant il restait admiratif devant tant de splendeur, tellement admiratif, que d’un geste de main, il stoppa le cour du temps, empêchant les grains du sablier qu’il portait autour de la taille de s’écouler comme à leur habitude. Il passait, entre les flocons, pouvant les effleurer sans que ceux-ci ne se brisent, ou fondent. C’était encore plus spectaculaire ainsi et s’il l’avait pu, il l’aurait laissé ainsi.
Il avançait peu à peu, bousculant la neige fraîche et lorsqu’il arriva au niveau du lac, il s’accroupit, regardant son reflet. Il n’aimait pas tellement se regarder, après ce qu’il avait vécu il avait l’impression d’observer un autre, qui lui était familier mais qui ne serait pas lui.

Le temps repris son cours, les grains s’effilent le long du verre dans un tintement singulier qui avertit la nature qu’il est désormais prêt à reprendre son office.

Ji’ se releva, passa la main dans ses cheveux en bataille. Lorsqu’il se retourna, il tomba nez à nez avec quelqu’un. Ses joues se tintèrent de rouge vermillon, montrant au combien il était gêné qu’on l’aperçut ainsi. Et avant qu’il n’eut pu dire quoi que ce soit, la personne prit la parole.

D’excellente humeur ce matin Adel avait décider en se levant d’aller piquer une bonne tête dans le lac, bien sur c’était avant qu’il ne se rappelle qu’on était encore en hiver et qu’il ne remarque la neige qui commençais a tomber. Encore un temps a rester chez sois sans aller en cours pensa t’il. Toutefois après quelque minutes a rêvasser dans le vide et avoir constater qu’il n’avait strictement rien a faire dans son humble cabanon occupé de lui seul, il se résigna à s’habiller chaudement pour sortir. Il enfila un pull par dessus un de ses large t-shirt habituel, et après voir troqué sa veste légère sans manche contre une autre plus épaisse et plus longue et pourvue cette fois ci de manche longue pris une écharpe et abandonna la douce chaleur du cabanon pour le froid glacial qui régnai dehors.
N’aillant aucune destination précise en tête il se dirigea instinctivement vers le lac ou il avait initialement prévu de nager, après tout il pouvait encore faire un petit footing matinal autour du lac pour compenser. Arrivé devant celui-ci il constata sans grand étonnement que le fameux lac où il avait prévu de nager ce matin au réveil était entièrement gelé, si il lui restait encore la moindre envie de nager par un temps pareil cette constatation la supprima aussitôt.
Le temps c’était pourtant réchauffer dernièrement se dit il, avec un soupir de résignation contre le passage des saisons aussi inévitable que capricieux il se détourna de la surface gelée. A cet instant il aperçut plus loin une silhouette qui s’approchai du lac, il n’était pas le seul à venir par ici un matin de neige apparemment, il essaya de distinguer a quoi l’inconnu pouvait bien ressembler, a première vue c’était un jeune homme au cheveux noir qui devait approximativement avoir son age, il se rapprocha tranquillement de celui-ci, la neige crissant faiblement sous ses pas ne semblais pas parvenir au oreille du jeune inconnu. C’est ainsi que sans qu’il le voulu Adel arriva proche du jeune homme sans que celui-ci, visiblement perdu dans ses pensée ne le remarque, mais a l’instant ou Adel voulu l’interpeller il s’interrompit, il y avait quelque chose d’étrange. D’où il se trouvait Adel avait sans qu’il su pourquoi l’impression d’observer une carte postal, interloquer il chercha ou se trouvais l’erreur dans ce qu’il voyait, il y avait quelque chose qui clochait mais quoi ? Il sursauta quand il comprit pourquoi il avait l’impression de voir une photo, tout était immobile autour du jeune homme, les flocons autour de lui ne tombais plus.
Complètement abasourdi Adel resta sans bouger, interdit devant le spectacle irréel qui s’offrait a lui quand tout a coup le charme se rompit sans prévenir, la photographie s’anima de nouveau et la neige continua de tomber.
L’inconnu se releva au même instant tirant Adel de sa stupeur, ce dernier reprit rapidement ces esprits, décidément cet établissement le surprenait de jour en jour, il attendit que l’inconnu se retourne pour s’adresser a lui avec son grand sourire habituel sans tenir compte de l’air gêné de ce dernier.

«Wahou c’était plutôt impressionnant comme truc, j’aurais jamais cru que j’verrai un truc pareil en me levant ce matin.
Ha au fait je m’appelle Adel, dit moi c’était quoi comme truc ce que tu nous a fais je sent que j’vais pas réussir a dormir tant que je saurais pas. »

Adel souffla dans ses mains pour les réchauffer en attendant que le jeune homme lui réponde.

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Le jeune homme était là, face à lui, emmitouflé dans ses vêtements. Le thermomètre devait être dans les négatifs et pourtant, Ji’ ne semblait pas atteint par ce froid qui au contraire avait touché ce jeune homme. Il ne devait pas être plus âgé que lui, à vrai dire, il avait l’air plutôt singulier et hormis le fait qu’il avait l’air d’être là depuis pas mal de temps, il aurait tout aussi bien pu être un de ses anciens camarades de classe.

Puis peu à peu Ji’ se rend compte de certaines choses comme le fait qu’il ne fut pas touché par son don, en effet, il semblait avoir pu l’observer alors qu’il venait de stopper le cours du temps ce qui était invraisemblable. De plus, « Adel » comme il s’était présenté, ne paraissait pas surpris de cette constatation, certainement devait il lui aussi avoir quelques dons que ce soit et après tout c’était pour ça qu’on l’avait envoyé ici. Il est vrai que son passé n’était pas très glorieux, exhibé comme un monstre, et cela depuis toujours même avant qu’il ne découvrit ses « dons » comme il les appelait. Car Jikan ne contrôlait pas seulement le temps durant un cour laps de temps qui lui permettait de faire ce qu’il voulait, il lui était aussi capable de « contrôler » la terre. Ainsi, il pouvait à son gré, ériger une colonne, former un gouffre…… bref faire tout ce que quelqu’un de son âge aurait pu imaginer et pourtant, dans son ancienne vie, jamais une seule fois il ne s’en était servit. Même lorsqu’il était malmené, frapper comme un vulgaire animal, il n’avait même jamais omis l’idée de les utiliser.
Tout en se commémorant les différents subisses auxquels il avait eu droit, il passa sa main sous son pull, laissant entrevoir quelques hématomes accompagnés de belles cicatrices. 19

Il baissa la tête, ne répondant toujours pas aux remarques du jeune homme pourtant si sympathique. Quelques larmes roulèrent le long de ses joues, atténuant le rougeâtre de sa peau. Les perles terminèrent leur parcours au niveau de ses lèvres qu’il essayait tant bien que mal de mordre afin de se contenir ; mais tout était trop récent pour qu’il n’ait pu faire passer ce ressentiment pour une vulgaire migraine comme le font la plupart des gens. Sur l’instant, il ne pensait pas au jeune homme qui était là et qui devait certainement se poser des tas de questions. Tout se chamboulait, ses amis, le directeur, sa vie tout le poussait à venir ici et pourtant, au plus profond de lui, il sentait que malgré la compassion des gens, il ne serait jamais à sa place, nulle part.

D’un revers de manche, il essuya ses larmes. Le sol était perturbé, comme s’il comprenait la souffrance du jeune homme. La neige tombait à gros flocons. Le vent semblait se levé et pourtant ni le froid, ni l’air sec n’était comparable à ce qu’il ressentait intérieurement. Et lorsqu’il releva enfin la tête en direction de Adel, il ne pu chuchoter que ces quelques mots.

_ Ne me juge pas s’il te plaît.

Les larmes avaient quittées son visage. Les yeux légèrement rouge, il sortit un morceau de tissu de sa poche pour essuyer le reste de cet épanchement de sentiment, prêt à entendre son hôte.

[ désoler pour ton pouvoir je pensait que tu n'avais figer que les flocons et que comme tu ne savais pas que mon perso était la il n'était pas figé ^^']

Adel était affreusement gêner, jamais il n’aurai pensé que le jeune homme réagirai comme ça, il pleurait comme si on l’avait surpris a faire quelque chose de mal pourtant Adel ne lui avait absolument rien reproché. En voyant l’espace d’une seconde les cicatrices de coup sous le pull du jeune homme Adel grimaça, il savait par expérience que ce genre de marque n’était pas celles qu’on récoltai lors d’un combat, elles ressemblaient davantage a celles qui orne le corps des persécuté. C’était donc une victime malgré les pouvoirs qu’il semblait posséder, sûrement un pacifiste, tout le contraire de moi conclu Adel, il était incapable de comprendre ce genre de personne. Le jeune homme releva finalement la tête en essuyant les larmes qui coulaient sur son visage :

« _ Ne me juge pas s’il te plaît. »

Le garçon avait prononcé ces mots comme une supplique, mettant Adel encore plus mal a l’aise, pourquoi pense t’il qu’on allai lui reprocher quelque chose, il avait juste stopper la chute des flocons de neige, rien de bien répréhensible a ses yeux. Avec un soupir Adel posa sa main sur l’épaule du jeune inconnu, celui-ci avait l’air tellement inoffensif, décidément c’était le genre de personne contre lesquels il ne pouvait rien. Il regarda le jeune garçon droit dans les yeux, son sourire s’adoucit considérablement quand il s’adressa a lui :

« Et de quel droit j'te jugerais hein, t'as peur que j' me moque de toi ou que j' traite comme un monstre ?
Tu sais j'ne pense pas que qui que ce soit ici puisse t'reprocher de pouvoir faire ce genre de chose, après tout nous sommes a Laokess, l’île des élémentalistes ici tout l'monde possèdent des pouvoirs moi y compris.
Hé hé tient regarde j' vais t' révéler un petit quelque chose plutôt amusant. »

Avec un petit sourire espiègles Adel posa son doigt sur ses lèvres et sans quitter le jeune garçon des yeux il se mit à rétrécir, son visage s’arrondissant alors qu’il prenait sa force d’enfant. En quelque seconde le solide jeune homme qui se tenait la laissa la place à un enfant de dix ans au regard malicieux dans des habits trop grand. Ce dernier, la tête désormais levée vers son interlocuteur, s’adressa a nouveau au jeune inconnu d’une voix bien plus jeune mais toujours aussi assuré :

« T’as vu c’est plutôt sympas comme pouvoir non ? Par contre ne dit a personne que j'sais faire ça ok ?
C’est beaucoup plus drôle si personne ne sait que j'peux me transformer, j'peux passer inaperçu comme ça, donc j'te fais confiance pour n’en parler a personne hein. »

Adel n’avait pas pour habitude de dévoiler sa capacité de transformation au premier venu, mais dans le cas présent il estimait qu’il ne risquai pas grand-chose, et puis il éprouvait de la sympathie pour ce garçon bien qu’ils est un caractère totalement opposé l’un de l’autre. En y réfléchissant bien c’était peut être même pour cette raison qu’il l’aimai bien, depuis longtemps il n’avait fréquenté, si l’on puis dire, que des voyous contre qui il passait son temps a se battre, il n’avait pas l’habitude de fréquenter ce genre de personne. Les manches pendante, trop longue de vingt bon centimètre, Adel croisa les bras, et attendit que son interlocuteur prenne la parole.

[On dira que Jikan n’a agi que sur les flocons ?]

Encore une promenade au bord de l’eau, avant d’aller en cours… Décidément, c’était paradoxal ! Pourquoi Irys revenait-elle toujours à ce point de chute ? Pourquoi cette partie de l’E3 qu’elle détestait tant l’attirait inexorablement ? Par simple plaisir de le voir enfermé sous une bonne couche de glace ? Non, la raison était bien plus évidente, mais elle n’osait pas se l’avouer… Juste observer béat, cette beauté de la nature. Ces flocons cotonneux qui se posaient, hasardeux, en souplesse, recouvrant d’un beau manteau de neige, le paysage silencieux.

Irys fit quelques pas dans la neige, plus molle que ces derniers temps… Le printemps reviendrait-il ? Aucune différence niveau température, en ce qui concerne notre élémentaliste de feu. Ses éternelles manches courtes, son jean léger et ses basket en toile se contentent pauvrement de couvrir son corps. Quoi que, après un coup d’œil vers le bas, Irys se rendit compte qu’elle avait oublié les baskets. Pas terrible, voilà que ses orteils étaient ornés de boue. Alors qu’elle en était à se demander si elle allait entrer ou pas, un détail attira son attention.

Ce n’était pas un mouvement brusque, non. Plutôt, une impression bizarre. Irys fronça les sourcils. L’absence de mouvement. Elle releva doucement la tête, comme de peur de briser cette image. Fascinée.

Les cotons semblaient bloqués en l’air. Suspendus dans leur chute. Comme indécis. Fallait-il faire un effort pour se laisser tomber ou tenter de rejoindre les nuages, d’où ils venaient ? Le choix ne se posaient, en pauvres marionnettes gelés, ils se devaient d’obéir et rester immobile, entre ciel et sol. Et, enfin, sans prévenir, ils reprirent leur descente sans fin. Que s’était-il passé ?

C’est à cet instant qu’Irys finit par remarquer la présence de deux silhouettes un peu plus loin sur la rive. Elle hésita un moment. Peut-être dérangerait-elle ? Mais comme d’habitude, et ça n’est pas une surprise, la curiosité prit le dessus. Ses pieds nus la guidèrent jusqu’à ce qui semblait être deux jeunes hommes. Insensibles au froid, ils obéirent sans soucis la jeune fille à la chevelure flamboyante parvint bientôt à leur niveau. Ses yeux violets passèrent de l’un à l’autre. Un brun aux yeux rougis, et... un gamin aux cheveux blancs. Pas pour le moins du monde étonnée, elle eut par contre un peu honte en voyant qu’il était couvert avec beaucoup d’épaisseur, et qu’il continuait de grelotter, alors qu’elle se balader en manches courtes et pieds nus… Un raclement de gorge fut cependant le seul signe de son malaise.

C’est peut-être pas le temps idéal pour piquer une tête, lança-t-elle de son ton enjoué, avec un coup de tête en direction du lac. En tout cas, moi j'aurais préféré aller en cours… D’ailleurs, pourquoi est-ce que vous y êtes pas, vous ?

Son sourire joyeux montrait bien qu’il s’agissait d’une simple curiosité, et qu’il n’y avait pas une once de reproche dans ce qu’elle disait. Et puis… elle non plus n’était pas en classe !

[Adel, une réponse pour nous désengager tous ou je conclue en éditant ? ]

Adel attendait une réponse du jeune homme, au moins une réaction de sa part, mais c’est ce moment précis que choisi une jeune inconnue pour apparaître, celle-ci avait une magnifique chevelure de feu, elle paraissait plus jeune que les deux jeune gens, tout du moins que l’un d’eux, en effet Adel avait toujours la forme d’un enfant. Ce dernier d’ailleurs regardai la nouvelle venue avec étonnement, il réfléchi quelque minutes …
Ça y’est il venait de trouver ce qui était étrange, ses vêtements ! La jeune fille aux cheveux flamboyant était en t-shirt ! Et en plus elle n’avait pas de chaussures !! Lui qui mourrait de froid avec tout ses vêtement sur le dos c’était injuste !!!
Et puis d’abord pourquoi ce vieux sénile de directeur n’avait pas fais installer de salle de bain dans les cabanons des élèves hein ! Il n’avait pas pu prendre de douche depuis son arrivée à cause de ça !! Adel souffla un grand coup pour se calmer puis réfléchi a ce que venais de dire la jeune fille, les cours … mais il y’avais du chauffage dans les salles de cour, et dans la bibliothèque aussi ! En plus la bibliothèque était un lieu silencieux parfait pour continuer sa nuit de sommeil ! Le problème c’est que les deux autres ne semblaient pas avoir aussi froid que lui, il fallait trouver un truc pour les forcer a revenir a l’E3 … quelque chose pour les revenir au chaud …
Soudain la lumière fut, enfin disons plutôt que dans le cloaque sombre et humide qui était le cerveau d’Adel il y’eu soudain une lueur certes faible et de courte duré mais une lueur quand même. Il se tourna vers la rouquine qui venait juste d’arriver et par la même occasion de lui fournir une échappatoire.

« Tu sais j’pense que t’as raison ma petite, t’as même tout a fais raison on devrait aller en cour.
Nous sommes jeunes c’est le bon moment pour apprendre, on devrait tous aller en cour pour nous réchauff … étudier parce que … on va être en retard alors pas l’temps de discuté courrez !! »

Sans laisser le temps au deux autre de répondre il passa derrière eux et les poussas pour les faire avancer de force, ceux-ci se mirent à courir vers l’E3 motivé par Adel, ce dernier attendit que les deux inconnus est pris un peut d’avance sur lui, le jeune homme ne lui avait toujours pas donné son nom, et lorsqu’il estima qu’ils étaient asser loin de lui Adel se cacha derrière un tronc d’arbre et reprit sa forme normale, il vérifia que les deux jeunes gens soit bien sagement aller en cour et se dirigea a son tour vers la bibliothèque pour prolonger sa nuit.

[je me suis permis de jouer un peu les autres persos pour pouvoir clore le post désoler Surprised

]

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