[S17] A peine arrivée et déjà besoin d'aide [finit]

[Jeudi 7h30]

Waouh. Tout était tout simplement waouh.
Si elle avait pu parler, « waouh » aurait le seul mot qu’elle aurait prononcé en deux heures…et un nombre innombrable de fois ! Mais Merwen ne pouvait pas parler et se contentait donc de rester béate devant chaque détail bizarre et magique. En gros, sa mâchoire inférieure n’avait pas rejoint la supérieure depuis belle lurette.
Tout était…magnifique, splendide, grandiose. Quand elle était arrivée, le pilote l’avait déposée dans un simple terrain vague. Merwen avait crut à une erreur mais ne put qu’avancer en direction des toits qu’elle voyait apparaître derrière le bosquet d’arbres quelques kilomètres plus loin. En marchant, elle resta ébahit devant la diversité de la faune et la flore présente sur cette île. On se serait presque crut dans un monde merveilleux tellement tout était coloré et chatoyant !
Malheureusement, rien n’arrangea son état de méduse quand elle entra dans la ville. La encore, tout était de verre. Mais ici contrairement à l’aéroport, les bâtiments se déclinaient en une myriade de couleurs pastel qui donnaient à Farzer un aspect féerique. Les rayons du soleil déclinant, le ciel avait viré au pourpre et celui-ci se reflétait dans chaque facette de cristal, donnant à l’adolescente l’impression que la ville prenait soudain feu.
Elle avait ensuite avancé au hasard des ruelles. Elle avait croisé de nombreuses personnes affairées qui s’apprêtait à rentrer chez elles pour dîner. Mais aucune n’avait fait attention à elle, à cette petite silhouette fantomatique qui se glissait entre les murs à la tombée de la nuit.
Elle marcha toute la nuit, trop impatiente de découvrir les moindre recoins de cette ville étrange (et surtout parce qu’elle s’était un peu perdue en route).
Quand enfin l’aube se leva, la fatigue commença à s’insinuer dans ses muscles. Elle s’était émerveillée toute la nuit et ne rêvait plus à présent que d’un lit bien douillet. Son estomac émit un gargouillis irrité troublant le cours de ses pensées. Rectification, un lit bien douillet et un petit déjeuner.
Elle changea encore deux ou trois fois de rues pour retrouver l’avenue principale qui l’amènerait à l’école dont elle avait entendue parler. Une école qui lui permettrait d’apprendre à se contrôler et de ne plus jamais agir comme elle l’avait fait. Le problème c’était qu’elle s’était complètement perdue. A droite comme à gauche les même bâtiments de verre aux couleurs chatoyantes mais aucune grosse artère en vue. Elle allait abandonnée quand quelques gouttes d’eau tombèrent sur son front. Etrange, le ciel était dépourvu du moindre nuage, il ne pouvait pas pleuvoir. Elle leva la tête pour découvrir le secret de cette pluie étrange et découvrit une jeune femme occupée à arroser ses plantes de balcon.
Heureuse de rencontrer quelqu’un de vivant, Merwen entreprit de bouger dans tous les sens pour que la jeune femme la repère. Ce ne fut pas chose aisée. L’adolescente crut même que tout était perdu quand la citadine déposa son arrosoir pour repartir. Mais qu’elle ne fut pas sa joie quand les yeux de l’inconnue se tournèrent enfin vers elle ! En quelques gestes rapides, Merwen lui apprit qu’elle était muette et qu’elle cherchait quelque chose. Le problème vint surtout quand elle dû expliquer quoi. Alors qu’elle fouillait dans sa petite cervelle un moyen de communiquer, la jeune femme lui indiqua d’elle-même la direction de l’école, en lui décrivant bien chaque croisement qu’elle devait prendre. Merwen la remercia en s’inclinant bien bas et partie en courant dans la direction indiquée. Comment n’y avait-elle pas pensé ? Les habitants de laokess devaient être habitués au nouveaux arrivant venant étudier dans leur école élémentaire. Et avec son physique si différent des autres, il ne devait pas être difficile de comprendre qu’elle n’était pas d’ici.
En moins d’un quart d’heure, Merwen avait réussit à regagner l’avenue principale. Celle-ci se remplissait peu à peu de monde et certains magasins commençaient déjà à ouvrir. Hélas, elle était tellement fatiguée qu’elle n’y fit pas attention et se dirigea droit vers l’immense bâtiment qui dominait la ville. Comment avait-elle pu louper un truc aussi gigantesque ?
L’école se dressait fière et haute devant une grande place de verre. Contrairement aux maisons qu’elle avait croisé jusqu’ici, ses murs n’était pas seulement en cristal coloré mais aussi finement ouvragé en des millions de petits dessins sinueux. Derrière elle devait se trouver un parc car la ville n’allait pas plus loin. Après c’était la forêt vierge. Sur sa droite, solitaire tout en faisant écho à l’étrange architecture de l’école, une montagne s’élevait pour toucher le ciel de son unique doigt de pierre.
Une nouvelle fois, Merwen resta bouche bée pendant au moins vingt minutes avant de se rappeler qu’elle était fatiguée. Elle se dirigea donc vers cet illustre bâtiment qui donnait plus l’impression d’appartenir à un rêve qu’à autre chose. Tant qu’à faire, si s’en était vraiment un, autant qu’elle ne se réveille jamais. Tout était si…magique ici !
La grande porte principale était entièrement faite de cristal elle aussi et était décorée par de longues et élégantes arabesques en argent. Le fait qu’elle soit grande ouverte dès le matin permit à Merwen de se décontracter un petit peu. Elle n’aurait pas à essayer d’attirer l’attention du portier ou de qui que ce soit s’occupant de l’entrée pour pouvoir pénétrer dans l’école.
Elle y fit quelques pas mal assurés. Le Hall en lui-même n’avait rien de particulier. Certes il était exceptionnellement grand mais c’était à peu près tout. Un grand escalier en verre orangé s’élevé vers les étages supérieur sur sa droite et une porte –moins imposante que celle de l’entrée mais quand même- s’ouvrait sur une grande salle où plusieurs élèves et professeurs avaient déjà commencés à petit déjeuner.
Merwen voulu s’approcher pour demander où est-ce qu’elle devait s’inscrire mais ne bougea pas d’un pouce. Là, devant elle, à moins de trois pas, un garçon d’environs 17 ans venait de s’élever dans les airs pour ne pas avoir à contourner une table ! A s’envoler dans les airs ! De la lévitation ! Juste à côté, une jeune fille qui semblait réviser un examen quelconque tout en mangeant fit un signe de la main en direction d’un pain au chocolat…qui bondit dans sa main !
Merwen devait avoir oublié de respirer car son visage si pâle d’habitude, commençait à virer sérieusement au bleu. Elle se força à reprendre son souffle même si tout était si…fantastique ! Elle réussit tant et si bien à reprendre son souffle qu’elle réussit même à entrer dans la pièce sans s’évanouir devant tant de nouveauté.
Elle repéra le groupe le plus proche, trois garçons discutant avec animation autour d’un copieux repas, afin de leur demander quelques renseignements. Alors qu’elle allait toucher l’épaule du premier, celui-ci éclata brusquement de rire. Merwen se demanda pourquoi et vit que l’adolescent d’en face avait les cheveux en feux ! Kyaaaa ! Mais c’était quoi ce monde de fous ?
Les trois adolescents finirent tout de même par la repérer. Qu’elle ne fut pas sa surprise quand le garçon qui se tenait assis juste devant elle quelques secondes plus tôt apparue debout à moins de cinq centimètres de son visage. Si elle avait eu la moindre voix, sûr qu’elle aurait hurler. Mais Merwen se contenta de sauter jusqu’au plafond et de trébucher en arrière. De la téléportation. De la téléportation. De la téléportation… Calme-toi maudit cœur !
Les trois garçons étaient à présent penchés au dessus d’elle. Elle aurait bien voulut leur expliquer rapidement sa demande mais elle n’osait plus bouger d’un millimètre. Ses grands yeux bleus fixaient désespérément chacun des visages qui l’entouraient à la recherche d’une aide quelconque.

[Tu as oublié de mettre le jour et l'heur au début de ton post! ^^
PS: Des éléves ont disparu donc il reigne une tension dans l'école ^^]

[Voilààà ! Par contre pour la tension, je ne crois pas qu'elle puisse la remarquer dès le début. Il n'y a que quelques élèves qui soit de bout et tout est tellement fantastique pour elle qu'elle n'arrive pas à le voir.]

[Edit Vétére: C'est pour ça que j'ai mit ça en "PS", j'te l'ai dit pour que tu y penses pour la suite du topic et que tu penses à moi car je suis prisonière, enfin brefle ^^]

[Edit Kaefer= Ouai non vas pas t'inquiéter pour elle, c'est un PNJ dont la disparition Rp est prévue par les fondateurs
Si tu as besoin d'aide, Bureau des Surveillants, 3e bureau à droite depuis l'entrée, demande l'homme à la chemise!]

[Edit Irys > Arrête Kaefer, elle fait peur ta proposition >.< (désolée pour le rouge Mendel')]

[Edit Kenfer: En tout bien tout honneur, My Petiote!]

[Edit Vétére: Et après c'est moi qui terrorise les éléves >>!
Comment? Un PNJ qui oublie de mettre l'heure et la date °°! *part avant que l'surveillant à chemises n'arrive*! ]

[Edit Merwen : Nan mais c'est pas bientôt finit tout ce flood dans MON poste ?!?
Saisit le giaga Martôh du Maître du Monde.
Allez ! Oust ! Tout le monde dehors ou je m'énerve ! Les seuls ayant le droit de rester ici c'est ceux qui me réponde ! è_é
....Ou alors c'est qu'il ont une tablette de chocolat à m'offrir....]

[Edit Kenfer= *Offre une boite de chocolat*]

[Edit Merwen : ...heu... *que dire ? Ma conscience est scindée en deux !!! D'un côté celle qui veut dire à ces importins de dégager et l'autre qui vient de prendre en pitié cette pauvre tablette de chocolat....T_T*... Pauvre de mouaaaaa !!!!!]

[Plus court que le précédent hélas...]

Merwen ferma les yeux, très fort, attendant que les coups viennent.
Elle qui avait crut que ce serait un nouveau départ, elle avait bien été naïve… Pourtant en venant à Laokess elle avait crut qu’elle pourrait faire un trait sur le passé et enfin réussir à avoir des amis. Elle en avait même été presque certaine quand elle avait vue la diversité des habitants de Farzer. Certains avaient même les mêmes étranges cheveux blancs qu’elle. D’autres encore en avaient des rouges des bleus des verts… Mais non, tout était comme avant, exactement comme avant…
Merwen ne tenta même pas de se protéger avec ses bras. Après tout, à quoi bon ? Elle aurait mal de toute façon pendant un moment puis tout disparaîtrait, comme par magie…Elle se crispa quand elle sentit le premier coup arriver, mais bizarrement, aucune douleur ne résonna dans ses côtes. Au contraire, un grand fracas parvînt à ses oreilles.
Poussée par la curiosité, Merwen se risqua à ouvrir un œil, histoire de se tenir informée de se qui se passait autour d’elle. Après tout, tout était tellement étrange ici que chaque nouvelle chose apparaissant était une véritable découverte pour l’adolescente ! Même quand elle était étalée par terre au milieu d’un groupe de garçons ne lui voulant pas que du bien.
Ce qu’elle découvrit était assez surprenant quoi que n’ayant pas l’aspect fantastique de ses précédentes trouvailles. En effet, les trois garçons qui l’encerclaient quelques secondes auparavant s’étaient soudain retrouvés les quatre fers en l’air, un air à la fois idiot et surpris sur le visage.
Merwen voulut se relever pour remercier la personne qui venait de la sortir de ce mauvais pas mais ne put bouger d’un millimètre. Devant elle se tenait un garçon assez grand, sûrement plus vieux et beaucoup plus fort qu’elle (à n’en pas douté elle ne ferait pas le poids). Il portait des cheveux raides et noirs mais ce n’était pas vraiment pour ces raisons-ci qu’elle n’avait plus osé bouger. Non, ce qui l’avait littéralement clouée sur place c’était ses deux pupilles rubis qui la fixaient sans la voir. Merwen qui avait crut être sauvée n’en eu que plus peur tellement l’adolescent dégageait des pulsions de violence.
Et puis soudain il parut repasser dans ce monde et croisa le regard de la jeune fille. Merwen fut terrifiée par toute la douleur qui y été accumulée. Comment quelqu’un pouvait-il autant souffrir ? A côté, ce qu’elle avait vécu, c’était de la rigolade pure et simple !
Lentement, elle leva son bras pâle vers le garçon. Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle faisait mais plus que tout, elle voulait voir disparaître une telle souffrance. Elle leva ses grands yeux d’eau vers lui cherchant une manière de l’aider. Soudain, l’adolescent tomba à genoux et fondit en larme, laissant Merwen encore plus surprise que ses ex-agresseurs.
L’être qui quelques secondes auparavant l’avait terrorisé n’était plus qu’un enfant en larme. Seul. Comme elle. En le voyant aussi démuni, Merwen aurait voulu trouvé les mots qui rassure et qui touche le cœur, comme celles que ça mère lui susurraient à l’oreille quand elle était triste. Mais elle en était incapable. Et pourtant… Tant de détresse lui brisait le cœur.
Hésitante, elle avança vers le garçon et le pris dans ses bras. Puis doucement, elle commença à le bercer. C’était la seule chose dont elle était capable pour le rassurer un tant soit peu et éliminer un peu de cette douleur qu’il ressentait.
C’est alors qu’elle remarqua que sa robe bleu clair se teintait peu à peu de vermeil. Etonnée, elle se demanda d’où pouvait bien venir tout ce sang. Elle se pencha en avant et découvrit sur la cuisse droite du garçon (qui entre temps, avait retrouvé son sang froid) six trous en formes de mâchoire. Vu la quantité de sang qui en sortait, la blessure était assez grave et demandait des soins d’urgence. Complètement affolée, Merwen se mis à tourner la tête dans tous les sens à la recherche d’une aide quelconque. Mais même si un petit groupe de personne s’était réunis autour d’eux après le tintamarre qu’avait fait le blessé en débarquant, personne n’arrivait à comprendre les gestes désordonnés de la jeune fille.
Comme personne ne semblait pouvoir l’aider, Merwen se re-pencha sur la marque de crocs. Plus vraiment consciente du sang qui continuait à couler, lentement mais sûrement, elle posa ses mains autour. Après tout, elle avait déjà glacé de l’eau (enfin façon de parler) et le sang était en grande partit composé de ce précieux liquide. Si elle arrivait à geler la blessure, ils auraient sûrement assez de temps pour trouver un médecin qualifié !
L’adolescente se concentra. Sous ses mains, une lueur légèrement bleutée apparue. Mais au lieu de geler la blessure, celle-ci disparue complètement !
Merwen resta hébétée devant ce qu’elle venait d’accomplir avant de prendre conscience que ses mains étaient restées sur la cuisse du garçon alors que celui-ci n’avait plus rien. Elle recula aussitôt, ses joues prenant une délicate couleur rosée.

[voilà voilà !^^ Essaye d'un peu plus développer tes postes que j'ai de la matière pour les miens s'il te plaît. Celui-ci est encore plus petit que les autres et j'avoue que je ne sait pas comment j'ai fait pour faire autant de lignes (en plus ch'uis fatiguée ^^). Enfin t'es pas obligé hein ! Je sais que je peux être trèèès énervante alors...]

Merwen recula de plusieurs pas jusqu’à se retrouver bloquée par une table.
Le garçon était soudain redevenu…effrayant. Ses yeux rouge sang avait reprit leur puissante couleur vermeille et semblait lancer des éclaires sur la pauvre adolescente. Celle-ci, à présent incapable d’échapper à la colère du garçon se recroquevillait de plus en plus sur elle-même. On aurait dit une petite souris blanche prête à se faire dévorer par un énorme loup noir aux yeux rouges.
Evidement dans l’incapacité de répondre, Merwen n’en était que plus terrifiée. Elle savait par avance que le manque de réponse allait énerver le jeune homme et que les coups n’en seraient que plus rudes. Mais était-ce sa faute à elle ? Etait-ce sa faute si elle était née muette ? Peut-être que oui après tout… Peut-être n’était-ce qu’une punition longuement préparée à l’avance pour toutes les fois ou elle avait fait le mal…
Par ailleurs, il y avait un autre point obscur qu’elle se devait d’éclaircir. Jamais auparavant ses mains n’avaient pris cette étrange couleur bleu et jamais elle n’avait encore réussit à guérir quelqu’un d’autre ! Ca n’avait toujours été qu’elle et elle seule que son pouvoir guérissait. Pourquoi soudainement cet étrange don s’amusait-il à se métamorphoser ? Et maintenant surtout ? Et puis… Elle n’avait rien gelé du tout. Se pourrait-il que celui-ci ait disparu ?
Enfin, vu que c’est un peu difficile de réfléchir à des questions métaphysique quand on est sur le point de se prendre un coup, Merwen dû laisser ses tergiversions intérieur là et se reconnecter à la réalité du moment.
Pourquoi est-ce qu’elle l’avait soigné ? Maintenant qu’elle y repensait, elle ne savait plus vraiment pourquoi. Elle se souvenait juste de l’immense détresse qu’elle avait ressentit chez le garçon. Mais ça, même avec des mots elle n’aurait pas pu l’expliquer. Alors avec seulement ses doigts et ses mains… ! C’était carrément du suicide ! Autant le laisser frapper tant qu’il voulait et ne pas l’exciter encore plus en bougeant dans tous les sens. De toute façon, elle ne pouvait pas fuir…
En effet, à droite comme à gauche de la table contre laquelle elle était bloquée, les « lève-tôt » s’accumulaient de plus en plus, lui bouchant complètement le passage et tout espoir de s’en sortir sans mal.
Merwen soupira et fit face à son bourreau (XD ça fait trop bizarre d’écrire ça, j’ai l’impression de la conduire au bûcher). Elle se tenait là, debout devant lui. Elle avait facilement une tête de moins que lui –si ce n’était pas deux- et semblait tellement plus fragile… On aurait dit que si l’adolescent haussait encore la voix, la pauvre petite s’envolerait comme un fétu de paille pour aller se fracasser un peu plus loin. Et pourtant, malgré la peur que lui inspire le jeune homme, elle reste droite. Sa robe et sa peau diaphane tâchées de sang rehaussaient l’effet de pâleur de son visage et ses longs cheveux blancs semblaient comme portés par une brise invisible (ça vous rappelle pas une scène ça ^^).
Merwen sentait bien qu’elle tremblait comme une feuille. Mais au moins réussissait-elle à le regarder. Elle voulait chercher une dernière fois, vérifier qu’elle ne s’était pas trompée. Qu’il existait bien derrière ce brusque nuage de colère, la détresse du petit garçon qu’elle avait aperçue. Mais rien. Rien. Elle avait beau le fixer de ses grands yeux bleus, elle ne trouvait rien que cet immense chao qui lui faisait froid dans le dos.
Le garçon était à présent à moins d’un mètre d’elle et elle pouvait sentir son souffle sur sa peau. Où allait-il attaquer ? Elle n’en avait pas la moindre idée. Tout ce qu’elle souhait c’était d’avoir le moins mal possible.

[ Désolé encore une fois ^^ Mais je sens que sa s'améliore ^^ Sinon, je crois que ce poste est assez long pour rivaliser avec ton dernier Héhéh !! Bon, j'essaierais de plus en plus à compléter mes posts, et à les faire plus longs avec des choses mieux pour que tu puisses répondre t'es longs posts ^^ ]





La jeune fille qui avait en quelque sorte sauvé la jambe d'Hadrian, avait l'air d'un petit enfant apeuré. Hadrian, qui n'était vraiment pas doué pour comprendre les gens, et encore moins pour leur parler, ne sut pas quoi dire. Et pour l'instant, ce grand crétin n'avait toujours pas compris qu'elle l'avait soigné... Apparemment elle avait peur que Hadrian tente à nouveau de la frapper... Mais d'un côté, elle l'avait fait souffrir lorsqu'elle avait posé ses mains sur sa plaie, et qu'une lumière bleuté avait jailli de ses doigts, était rentré dans sa profonde blessure, avait comme... gigoté dans la marque des dents du loup. Et la plaie avait été refermée. Maintenant, il ne souffrait plus du tout... Mais, la souffrance avait été telle qu'il lui aurait bien fait la même chose.... Mais une question se posait. Pourquoi l'avoir soigné..? Car après tout, qui aiderait une personne s'apprêtant à vous frapper...

Il s'avança vers la jeune fille qui avait de plus en plus peur. Il la fixa dans les yeux. Des yeux bleus.... C'était la première fois qu'il y prêtait attention.... Bleus.... Bleus comme le loup qu'il avait affronté quelques heures auparavant, ou peu-être minutes... Sa lui donna envie de lui sauter dessus, de la faire brûler de l'intérieur et de lui déchirer les entrailles en rigolant... Mais non, ce n'était pas résonable... De un, trop de gens était autour et pourrait s'en prendre à Hadrian, de deux, ces gens devenaient aussi des temoins, et pourraient le dénoncé.... Et deux trois... Il n'osait pas l'admettre, mais elle lui avait sauvé la vie.

Devait-il la remercier ? Ou peut-être, partir sans rien lui dire ?

Merci...

Ce mot si difficile à prononcer.... Ce mot ressemblait à un serpent vénéneux qui sortait de la bouche en écorchant les joues, les lèvres... Mais, il avait réussir à le dire sans trop de dégats. Mais, pour la deuxième fois de sa vie, il avait réussir à dire un mot.. Un peu plus doux à une personne... C'était la deuxième fois qu'il réussissait cette dure épreuve... Lui qui passait son temps à préparé des vannes aux autres, à les insulter.... Ou mêmes les frapper... Le loup de l'avenue principale en était la preuve.

Maintenant qu'il avait dit merci, Hadrian se sentait légèrement perdu... Il fallait pas trop lui en demander... Maintenant il ne savait pas quoi dire. Mais, il se rappela les vieux feuilletions Américains... Il devait peut-être reprendre une phrase... Peut-être que ce serait l'idéal.... Mais qu'elle phrase ? Il se rapella alors une phrase avec le mots amis dedans... Mais, cette phrase n'avait pas l'air de convenir.... Il n'osa pas. Il pensa que dire son nom et demander à la personne le siens était pas mal... * Après je pourrais la tuer... Niark niark niark * Mais il chassa vite cette idée de la tête et regarda la jeune fille en prononçant :

Bon ben... Moi c'est Hadrian. Et toi ?

A son grand étonnement, il n'eut pas de difficulté à prononcer ces mots là. Il n'eut pas l'impression de sentir un serpent sortir par sa bouche en cassant tout sur son passage...

[Franchement bravo ! ^^
Je suis super contente ! Je redépasse LA page de word XD !]

Merwen était toujours terrorisée, plaquée contre la table quand elle la vit.
Elle était bien cachée, presque invisible. Mais l’adolescente l’avait tout de même perçue à l’ultime seconde ou elle était apparue. Ca avait été tellement léger, tellement insaisissable qu’elle aurait pu passer sans qu’elle s’en rende compte. Mais non. Il faut dire qu’elle fixait tellement les yeux du jeune homme que cette minuscule lueur n’aurait tout simplement pas pu lui échapper.
Là, juste derrière le mur de colère qu’il avait dressé entre le monde et lui, une toute petite flamme brûlait encore. La flamme de l’enfance, de la joie simple, du rire pur et sans arrière pensée mais aussi de la souffrance, de la peur, de la solitude….des sentiments mis à nus. De nouveau Merwen voulut la saisir et réchauffer cette faible lumière, mais aussitôt elle disparue, comme un mirage, engloutie par la haine.
Et pourtant, elle voulait la revoir cette flamme ! Son unique espoir ! Il fallait qu’elle brille et qu’elle illumine tout sur son passage. Sinon, à quoi bon vivre ? A quoi bon vivre si ce n’était que pour la colère ? Si l’être humain se laissé entraîner dans le cercle vicieux de la haine, il était à la fois rare et difficile d’en sortir. Mais même si elle savait déjà tout ça, tout ce qu’elle désirait pour l’instant, c’était de voir cette petite flamme grandir, grandir jusqu’à être assez grande et assez forte pour qu’à son tour elle réchauffe les âmes l’entourant. Oui, à l’instant présent, le plus chers désire de cette petite fille muette au cheveux blancs était celui-ci. Elle ne voulait rien d’autre. Ne pensait à rien d’autre. Ne rêvait à rien d’autre. L’image même du garçon la menaçant avait disparut, remplacée par cette quête insensée.
Puis soudain, la flamme, la toute petite flamme explosa pour jaillir hors de ce corps détruit par la colère. Elle engloutit le faible espace qui la séparait du jeune homme et la heurta de plein fouet. Pourtant, au lieu d’un choc violent ce fut une douce chaleur qui emplie son cœur. Cette chaleur avait pris forme naturellement entre les deux êtres sous la forme d’un mot. Simple et pourtant si compliqué. Fragile et pourtant si fort. Si unique et pourtant si multiple. Merci.
Ce seul mot résonna dans le cœur de Merwen, la rassurant aussitôt. L’espoir, il été encore là. Il ne demandait qu’à être éveillé. Elle se sentait ragaillardit par cette pensée étrange et doucement elle aussi sortie de son rêve éveillé.
Combien de temps s’était-il passé depuis qu’elle s’était recroquevillée contre la table ? Combien de temps perdue dans les méandres de ces yeux rouges sang qui la fixaient toujours ? Merwen n’en savait rien. Elle avait simplement l’impression de sortir d’un long rêve ou sa conscience et ses désirs ne lui avaient plus vraiment appartenue. Ou aider ce garçon était devenue une « nécessité » bien plus réelle que celle de fuir à toute jambe. Elle ne comprenait pas mais elle était tellement soulagée d’avoir réussi à apercevoir l’âme de l’adolescent… ! Ca lui faisait tellement chaud au cœur… ! Peut-être n’était-elle qu’une égoïste de ne penser qu’à son propre bonheur mais cela ne l’empêchait pas de rêver de revoir cette lumière qu’elle avait croisée pendant ces quelques secondes.
Maintenant que tout danger était écarté, Merwen prit le loisir de faire un pas sur le côté, histoire de ne pas être confondue avec la table à force d’y être restée trop longtemps collée. Le garçon qui lui faisait face n’était plus du tout le même que celui qui l’avait agressée ou encore que celui qui lui avait dit merci. Non. C’était un mélange des deux, comme une pause avant de savoir laquelle des deux parties allait l’emporter. L’adolescent était devenu…un adolescent.
Voyant qu’il ne se passait plus rien, les gens regroupés autour commencèrent à repartir, qui en se téléportant, qui en volant et, fait incroyable, qui en marchant tout bêtement. Voir la foule se disperser permit à la jeune fille de reprendre son souffle. Elle n’aimait pas beaucoup attirer l’attention sur elle, ça se finissait toujours mal. D’ailleurs, quand elle allait à l’école, elle évitait toujours de se mêler aux autres enfants, se contentant de leur répondre le plus poliment possible quand ils lui parlaient. Mais rien n’y avait fait, elle s’était toujours retrouvée en mauvaise posture.
Mais aujourd’hui, c’était différent. Pour une des rares fois dans son existence, Merwen s’en était sortie indemne et sans avoir appelle à son pouvoir. Enfin, façon de parler vu qu’elle l’avait tout de même utilisé pour soigner le garçon. Comment ? Elle ne le savait pas. C’était en quelque sorte pour ça d’ailleurs qu’elle s’était rendue dans cette école : pour en apprendre plus sur elle et ses pouvoirs et pour réussir à les maîtriser.
Enfin bref, pour l’heure, il fallait déjà qu’elle gère la situation dans laquelle elle avait encore réussis à s’empêtrer. En effet, L’adolescent venait de lui dire son nom, Hadrian. C’était un assez beau prénom, qui résonnait mélodieusement à ses oreilles. Mais bon, ça ce n’était pas un problème. Le problème était de lui répondre. Visiblement il n’avait pas encore comprit qu’elle était dans l’incapacité d’émettre le moindre son. Mais c’était compréhensible, dans la panique, n’importe qui aurait perdu ses mots ou n’aurait pas osé émettre le moindre son.
Maintenant, c’était différent. Merwen n’avait pas de quoi écrire et dire son prénom par signes c’était pas vraiment possible. Manquait plus qu’à lui faire comprendre qu’elle était muette. Ca au moins c’était simple. Elle maîtrisait à la perfection. Il faut dire qu’elle avait eu seize ans pour s’entraîner même si les gens à qui elle « parlait » ne « l’écoutaient » pas souvent. En quelques gestes, elle expliqua à Hadrian le problème aigu qui se posait suite à sa question.

[ Ben moi je pense que c'est pas demain la vieille que je vais réussir à faire plus d'une page sur Word ^^ Mais bon, sa commence à venir ^^ ]



La jeune fille était redressé, et observait les gens qui s'en allaient de la grande salle. Apparemment, ils étaient déçu qu'Hadrian n'ai pas frappé la jeune fille. Celle-ci ne répondait toujours pas à la question du jeune homme. Ceci l'exaspera.

* Nan mais pour qui elle se prend là ? Je me démène dans tout les sens pour lui parler gentiment, et cette petit peste n'est même pas foutu de me répondre ! Finalement elle aurait bien mérité un coup.... *

Hadrian avait des pensé meurtrières.... Comme d'habitude... En faite, il en avait souvent. Un peu trop d'ailleur. Tout le temps. C'était peut-être par ce qu'il avait vécu dans la violence... Ou peut-être que c'était son âme qui l'était... Il n'avait été gentil qu'avec une seul personne depuis le drâme de son enfance. Une seule personne qu'il ne revoyait plus. Hadrian tenta de cesser d'y songer, et de penser à maintenant.
C'est alors que la jeune fille ce mit à faire des gestes. Hadrian n'y comprenait rien du tout. Mais il comprenait assez pour savoir qu'elle ne voulait pas parler, ou qu'elle ne pouvait pas....Mais dans les deux sens, il n'avait rien compris.

Heiiiiiiiiiiin ? Qu'est ce que tu dis ? Désolé j'ai rien compris !


Décidemment, Hadrian ne savait pas comment parler aux gens... De toutes façons, il n'avait pas eu le temps d'être éduqués, et dans les orphelinats. De toutes façon, il n'écoutait jamais. Il passait son temps à frapper les gens, à les embêter, à les frapper, à les embêter, et puis à la frapper.... Pareilles pour les éducateur et éducatrice. Lorsqu'ils le méprenaient, Hadrian leur faisait savoir qu'il.... N'était pas d'accord en quelques sortes... Mais maintenant, c'était différent. Il devait parfaire son éducation lui même... Et ce n'était pas bien facile...
Mais en regardant les autres, il avait une vague idée de la façon de se tenir. Mais, comme il ne fréquentait pas grand monde....
Hadrian se rapprocha de la jeune fille, et l'examina attentivement. Soudain, il remarqua qu'il ne l'avait jamais vu au paravent. De toute façon, il ne voyait jamais grand monde. Mais cette jeune fille... Sois elle restait tout le temps dans l'ombre, sois... Elle était nouvelle. Il pensa qu'elle était nouvelle . De son visage, on lisait l'inquiétude qu'elle avait en regardait Hadrian. Apparemment elle avait toujours peur qu'Hadrian la frappe.
Hadrian ne savais pas vraiment quoi faire... Il s'avança plus près de la jeune fille et la pris dans ses bras. Il ne savait pas trop ce qu'il faisait, mais il pensait que c'était la meilleur chose à faire.

[Le mien n'est pas très long cette fois-ci (encore =_=') mais je l'aime beaucoup !^^]

Il l’avait prise dans ses bras !
Merwen n’en revenait pas. Quand cela s’était-il passé ? Tout était allé bien trop vite. Moins d’un centième de seconde auparavant, elle était en train de gigoter dans tous les sens pour qu’Hadrian comprenne qu’elle était muette. Et puis, pfiouuuuuuu…Il l’avait prise dans ses bras ! Elle en était restée bouche bée et n’avait plus osé bouger d’un millimètre.
Pourquoi ce soudain revirement de situation ? C’était tout simplement…inexplicable ! Bien sûr elle aussi avait fait de même quelques minutes auparavant mais c’était bien différent ! Hadrian était alors en état de choc et avait eu besoin d’une présence pour le réconforter. En plus, elle avait plus réagit par instinct « maternelle » qu’en réfléchissant. Ca avait été naturel du début jusqu’à la fin. Mais là… !
Merwen n’arrivait pas à comprendre pourquoi ce jeune homme d’environ deux ans son aîné la serrait contre lui avec une telle force. Elle était pas en titane non mais ! Et en plus, elle était terriblement gênée. Ses pommettes s’étaient petit à petit joliment parées de rose et elle n’avait qu’un désir : fuir au loin.
En dehors de sa mère, jamais personne ne l’avait prise dans les bras comme ça. Ca avait toujours était elle qui faisait le premier pas pour rassurer les gens. Elle, elle faisait peur. Il valait toujours mieux qu’elle soit triste toute seule que d’aller la voir et de se retrouver maudit par « la sorcière ». Mais elle les comprenait. Elle était si différente. Pas uniquement dans ses étranges capacités mais aussi dans son physique. Sa peau était tellement pâle qu’on aurait dit qu’elle était translucide. Sans parler de ses si étranges cheveux blancs qui semblaient éternellement en suspension dans l’air. Oui, elle avait toute l’apparence d’un « fantôme » et comprenait largement qu’Ils aient autant peur d’elle. De plus, le fait qu’elle soit muette n’avait jamais arrangé les choses. Les gens s’étaient mis à dire qu’elle appartenait à un « autre monde », ou en tout cas, plus à « ce monde-ci ». Elle n’était qu’un fantôme du passé venue les hanter et leur porter malheur.
Malheur, malheur, malheur… Pourtant elle, elle n’avait jamais fait de mal à personne. Bien au contraire, elle avait toujours essayé d’apporter un peu de bonheur aux autres. C’est aussi pour cela qu’elle évitait de fréquenter d’autres personnes, pour qu’elles ne soient pas malheureuses en la voyant. Si sa disparition pouvait rendre heureuses un maximum de personnes, alors elle disparaîtrait, tout simplement.
Elle n’était qu’une menteuse quand elle disait qu’elle n’avait « jamais fait de mal à personne ». Une horrible menteuse. Elle avait déjà tué par vengeance et ce souvenir lui glaçait le sang. Bien sûr, ils avaient tué sa mère, sa chère mère, la seule qui la comprenait, la seule qui l’aimait. Ils méritaient de mourir. Non ! C’était faux ! Personne ne mérite de mourir ! Même s’ils sont accusés du plus horrible des crimes. Et elle avait encore moins le droit de se transformer en justicière…ou en meurtrière. L’image de sa mère mourrant dans ses bras se rappela à elle et elle dû se forcer à l’effacer. Elle s’apprêtait à un nouveau départ. Bien sûr le passé ne s’effacerait pas mais elle devait le surmonter et avancer tant qu’elle le pouvait. Jusqu’à sa propre mort.
Merwen se défigea et détacha doucement les deux bras qui l’enlaçaient. Le contact d’un autre corps contre le sien n’était pas désagréable mais elle n’aimait pas beaucoup ne plus être libre de ses mouvements. Cela lui rappelait trop de souvenirs, quand les enfants la plaquaient au sol ou qu’ils lui maintenaient tous ses membres pour qu’elle ne puisse pas fuir avant qu’il ne se vengent. Avant qu’ils ne la frappent. Mais bon, en même temps et même si il était assez maladroit, Hadrian n’avait fait preuve d’aucune animosité quand il l’avait prise dans ses bras. Elle n’avait plus peur. Elle était simplement gênée.
Quand ils furent de nouveau face à face, l’adolescente sentit ses joues reprendre leur couleur normale. Le jeune homme la dépassait d’une bonne tête et demie mais à présent, elle était en confiance. Elle n’avait plus rien à craindre pour le moment. Le seul problème existant encore était celui de trouver de quoi écrire. Merwen avait débarqué sur Laokess sans aucun bagage. Elle s’en voulut à mort de ne pas avoir pensée à une feuille de papier et à un crayon. Dans sa situation, c’était impensable de se balader sans ! Alors quand à découvrir une île au milieu du Pacifique…
Elle réessaya d’expliquer sa situation à Hadrian par geste, lui montrant le plus clairement possible ce qu’elle désirait : de quoi écrire. Avec un peu de chance, cette fois-ci il comprendrait mieux.

[ Je me fatigue un peu...]



La jeune fille paraissait énormément gênée qu'Hadrian l'est pris dans ses bras. Il arrêta donc. La jeune fille n'étais plus du tout gênée à présent. Et elle paraissait en confiance. Bien plus que quelques minutes, quelques secondes auparavant. Hadrian ne sut du tout que faire, mais lorsque la jeune fille lui expliqua avec des gestes qu'il lui fallait de quoi écrire. Cette fois, il avait compris ses gestes.
Hadrian lui dit :

Assis toi là, et attends que je revienne. Je vais chercher de quoi écrire.

Hadrian courut vers la sortie. Il courut le plus vite possible vers son cabanon. Il traversa le hall, le parc, et arriva dans son cabanon. Pour l'instant, il y était seul. Il ouvrit la porte et avança vers son bureau. Il y avait des papiers en vracs, et plusieurs livre et cahier poser un peu partout. Il prit un cahier, il en déchira quelques feuilles vierges dans le cahier. Il ouvrit un tiroir et pris un stylo.
Il sortit en courant du cabanon et alla vers l'école. Il ouvrit la grande porte et entra dans le hall. Il pénétra ensuite dans la grande salle où la jeune fille était toujours assise. Il s'avança vers ellen et lui donna le papier et le stylo.

J'espère que sa te conviendras

Il s'assit à côté d'elle et patienta qu'elle écrive ce qu'elle souhaitais écrire.

[ Pourquoi Merwen se demande qu'elle langue Hadrian parle ^^

Bureau des indications bonjour ! Le bureau pour la paperasse ? Suivez Hadrian héhé ]

Après avoir donner les papiers à la jeune fille, Hadrian s'était assis. Il attendait maintenant qu'elle écrive quelque chose. Soudain il se demanda aussi si cette personne était sourde. Il se dit alors que ce serait bizarre, vu qu'elle avait à peu près compris ce qu'il voulait dire... Ou peut-être... Qu'elle lisait sur les lèvres ! Mais oui ! Elle lisait sur les lèvres, et donc elle avait compris ce qu'il avait dit... C'était maintenant évident aux yeux d'Hadrian.
Il était maintenant très impressionné. Elle était muette, et de plus, elle lisait sur les lèvres !! Impressionnant. Oui très impressionnant. Hadrian n'était jamais parvenue à lire sur les lèvres. Sa bougeait trop vite.
La jeune fille toute pâle avait maintenant terminé d'écrire.
Elle lui tendait une feuille de papier.
Hadrian la saisit et la lut :

*<<Bonjour.
Tout d’abord, merci beaucoup pour tout à l’heure. Si tu n’étais pas intervenu, je ne sais pas ce qui se serait passé (et à vrai dire, je ne veux même pas y penser).
Ensuite, désolé de ne pas t’avoir répondu mais je suis muette de naissance. Il m’était donc impossible de prononcer le moindre mot. Je m’appelle Merwen, j’ai seize ans, je suis crevée et je cherche désespérément le bureau des inscriptions pour régler toute la paperasse.
Je sais que c’est beaucoup te demander surtout après tout ce que tu as déjà fait mais pourrais-tu m’indiquer où le trouver ? Ou alors me désigner quelqu’un qui pourrait le faire à ta place ?
Merci encore ! »

* Elle est très spéciale cette fille * Songea Hadrian * Je m'apprêtais à la frapper, qu'elle me dit merci ! *

Hadrian écriva tout en disant :



-Pourquoi t'excuse tu ? J'allais te frapper. Bon, je te conduis au bureau.


Hadrian lui tendit le papier où était écris ce qu'il venait de lui dire. Il lui prit ensuite la main et la main et la conduisis à la porte du bureau. Il traverse la grande salle. Puis, le hall. Il passèrent dans un couloir, et arrivèrent au bureau. Merwen entra. Hadrian se mit alors à faire les cents pas. Cela faisait maintenant une heure qu'il attendait, adossé au mur, les yeux mis clos. Il sombrait de plus en plus dans le sommeille. Trente minutes plus tard, Hadrian dormait sur un banc qu'il était aller chercher dans la grande salle.


[ Désengagé ]

.

[Hum... Si tu parle d'Hadrian comme l'homme qui va se réveiller, tu te trompes ^^ Hadrian va continuer de dormir bien sagement. De plus, je me suis désengagé, et tu ne peux donc pas parler à Hadrian. Une nouvelle fois, tu n'as pas le droit de faire intéragir d'autres personnes par ton post. Hadrian se réveille si il le souhaite ... Et, Hadrian ne sait pas endormie dans la grande salle, mais dans un couloir près du bureau ou Merwen remplis les papiers...

[oups, escuse moi je suis nouveau dans le rp donc j'ai un peu de mal, et tu as marqué : "Trente minutes plus tard, Hadrian dormait sur un banc qu'il était aller chercher dans la grande salle."
Ca peut avoir 2 signification en fait, donc je me suis un peu embrouillé, je vais editer, surement effacer le message si je peut (il sert a rien vu que y a plus personne à part moi ^^')]